A cinq jours de la campagne électorale pour les élections locales du 22 mars prochain, la Coalition Sopi 2009 se dit déjà très confiante quant à sa victoire. D’ores et déjà, elle se réjouit du fait qu’elle a dans sa poche 110 sur les 543 collectivités locales que compte le Sénégal alors qu’il n’y a pas encore de scrutin. L’administrateur général du Parti Démocratique Sénégalais (PDS) et par ailleurs ministre d’Etat au près du président de la République, Abdoulaye Faye fait ainsi allusion à la forclusion de l’opposition dans ces 110 collectivités locales. En conférence de presse ce mercredi, les membres de la liste de la Coalition Sopi pour le conseil régional de Dakar crient victoire et apportent leurs arguments.
«Le dépôt des listes détermine le rapport de force des différentes coalitions en compétition. Sur les 543 collectivités la coalition Sopi est présente sur les 542. Nous sommes forclos qu’à Fafacourou», s’est glorifié l’administrateur général du Parti Démocratique Sénégalais (PDS), Abdoulaye Faye. Il a, par contre, souligné que «l’opposition est absente sur 110 collectivités locales. Cela veut dire que nous avons en poche dès le départ 110 collectivités».
Le ministre d’Etat auprès du président de la République d’ajouter qu’au sein de la région de Dakar, l’opposition n’est quasiment en compétition qu’à la proportionnelle. «L’opposition commence a être réaliste en limitant ses ambitions à la proportionnelle. C’est à dire au niveau des communes d’arrondissement, hormis quelques unes, il n’y a pas de quoi avoir peur».
Le chef de file de la liste de la Coalition Sopi pour le conseil régional de Dakar, Baye Ndoumbé Guèye a, après les assurances de l’ancien président du Conseil régional de Dakar, décliné ses ambitions pour la capitale du Sénégal. Le programme de cette nouvelle équipe de la mouvance présidentielle se résume à « poursuivre et à consolider des acquis dans les différents domaines de compétence». Baye Ndoumbé Guèye envisage, s’il est élu avec son équipe, de procéder à l’élaboration du plan d’aménagement de la forêt de Mbao, à la réalisation du Collège Universitaire Régional (Cur) de Diamniadio pour désengorger l’Uiversité Cheikh Anta Diop (UCAD), la réalisation du schéma Régional des formations professionnelles, entre autres. Il a, aussi, lancé l’idée de la mise en place d’une mutuelle d’épargne et de crédit pour les femmes de la région, l’instauration du semi-pensionnat pour certains collèges et lycées de la banlieue et la création de mutuelles de santé.
«Le dépôt des listes détermine le rapport de force des différentes coalitions en compétition. Sur les 543 collectivités la coalition Sopi est présente sur les 542. Nous sommes forclos qu’à Fafacourou», s’est glorifié l’administrateur général du Parti Démocratique Sénégalais (PDS), Abdoulaye Faye. Il a, par contre, souligné que «l’opposition est absente sur 110 collectivités locales. Cela veut dire que nous avons en poche dès le départ 110 collectivités».
Le ministre d’Etat auprès du président de la République d’ajouter qu’au sein de la région de Dakar, l’opposition n’est quasiment en compétition qu’à la proportionnelle. «L’opposition commence a être réaliste en limitant ses ambitions à la proportionnelle. C’est à dire au niveau des communes d’arrondissement, hormis quelques unes, il n’y a pas de quoi avoir peur».
Le chef de file de la liste de la Coalition Sopi pour le conseil régional de Dakar, Baye Ndoumbé Guèye a, après les assurances de l’ancien président du Conseil régional de Dakar, décliné ses ambitions pour la capitale du Sénégal. Le programme de cette nouvelle équipe de la mouvance présidentielle se résume à « poursuivre et à consolider des acquis dans les différents domaines de compétence». Baye Ndoumbé Guèye envisage, s’il est élu avec son équipe, de procéder à l’élaboration du plan d’aménagement de la forêt de Mbao, à la réalisation du Collège Universitaire Régional (Cur) de Diamniadio pour désengorger l’Uiversité Cheikh Anta Diop (UCAD), la réalisation du schéma Régional des formations professionnelles, entre autres. Il a, aussi, lancé l’idée de la mise en place d’une mutuelle d’épargne et de crédit pour les femmes de la région, l’instauration du semi-pensionnat pour certains collèges et lycées de la banlieue et la création de mutuelles de santé.