Ministre de la Culture Mame Birame Diouf (photo:sudonline.sn)
La cellule en éducation non formelle veut une prise en charge de la dimension genre dans l’éducation non formelle. «Les clichés sexistes sont défavorables à la femme et le taux d’analphabétisme est très élevé chez les femmes» a indiqué la coordonnatrice de la cellule, Nafissatou Gassama Thioye.
A compter de ce mardi 14 avril jusqu'au 16 avril, la cellule organise un atelier sur la définition des mécanismes pour une prise en compte réelle de la dimension genre dans l’éducation non formelle. Le ministre de la Culture et du Patrimoine historique bâti, Mame Birame Diouf a indiqué que son «département s’engage et s’engagera pour rompre avec la démarche timide dans l’approche genre».
Il a également encouragé la promotion des langues nationales pour la promotion de l'alphabétisation.
C'est dans ce cadre qu'il a demandé à tous les acteurs de la vie, les journalistes notamment, à apprendre les langues nationales pour rendre compte et reporter en langue nationale. A ce propos, il a suggéré aux professionnels de l’information de faire un programme et de le soumettre à son ministère.
Définissant le genre, il a soutenu qu’«il se décrit comme les différents rôles, les responsabilités, les attitudes ainsi que les rapports de pouvoir qui sont attribués à l’homme, à la femme et à l’enfant». C’est ainsi que Mame Birame Diouf a précisé que «l’alphabétisation ne se résume pas à une simple maîtrise de compétences de vie courant c’est-à-dire savoir lire et écrire. Mais elle est liée aux préoccupations des populations, la santé, l’hygiène… » a-t-il précisé.
A compter de ce mardi 14 avril jusqu'au 16 avril, la cellule organise un atelier sur la définition des mécanismes pour une prise en compte réelle de la dimension genre dans l’éducation non formelle. Le ministre de la Culture et du Patrimoine historique bâti, Mame Birame Diouf a indiqué que son «département s’engage et s’engagera pour rompre avec la démarche timide dans l’approche genre».
Il a également encouragé la promotion des langues nationales pour la promotion de l'alphabétisation.
C'est dans ce cadre qu'il a demandé à tous les acteurs de la vie, les journalistes notamment, à apprendre les langues nationales pour rendre compte et reporter en langue nationale. A ce propos, il a suggéré aux professionnels de l’information de faire un programme et de le soumettre à son ministère.
Définissant le genre, il a soutenu qu’«il se décrit comme les différents rôles, les responsabilités, les attitudes ainsi que les rapports de pouvoir qui sont attribués à l’homme, à la femme et à l’enfant». C’est ainsi que Mame Birame Diouf a précisé que «l’alphabétisation ne se résume pas à une simple maîtrise de compétences de vie courant c’est-à-dire savoir lire et écrire. Mais elle est liée aux préoccupations des populations, la santé, l’hygiène… » a-t-il précisé.
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