C’est le Centre de capacitation en développement durable (Ccdd) situé au quartier Silmang de Thiès que la série de rencontre a eu lieu. Présidée par le Gouverneur de la région de Thiès, la cérémonie d’ouverture a été l’occasion pour la directrice du CESTI (Centre d’études des sciences et techniques de l’information), Eugénie Rokhaya Aw, de présenter un exposé sur l’approche genre. Elle a insisté sur la nécessité de la formation des femmes journalistes. Considérant que le leadership n’est pas inné chez l’individu, Mme Aw a plaidé pour l’élaboration de modules de formation qui intègrent ce volet dans les programmes d’études.
Les participants au séminaire ont, tour à tour, fait des interventions sur le thème : «Place de la formation dans l’itinéraire professionnel : Besoins de formation des femmes journalistes, Mécanismes de prise en charge de ces besoins».
Parlant des difficultés liées au statut de la femme journaliste, la secrétaire général du syndicat des journalistes sénégalais, Diatou Cissé Badiane, prenant son exemple a rendu compte des problèmes vécus par les journalistes dans leur ménage. De son avis c’est ce qui expliquerait la recrudescence du divorce dans le milieu journaliste. «En 1989 une amie hollandaise avait réalisé une étude qui révélait que 38% des femmes journalistes ont divorçaient» a-t-elle indiqué. Poursuivant, elle a exhorté ces jeunes consœurs à miser sur leur compétence et à persévérer pour arriver à faire une carrière sans faute.
Le séminaire qui s’est tenu du 05 au 07 mars à Thiès a été organisé par la fondation Konrad Adenaueur en collaboration avec le CESTI.
Les participants au séminaire ont, tour à tour, fait des interventions sur le thème : «Place de la formation dans l’itinéraire professionnel : Besoins de formation des femmes journalistes, Mécanismes de prise en charge de ces besoins».
Parlant des difficultés liées au statut de la femme journaliste, la secrétaire général du syndicat des journalistes sénégalais, Diatou Cissé Badiane, prenant son exemple a rendu compte des problèmes vécus par les journalistes dans leur ménage. De son avis c’est ce qui expliquerait la recrudescence du divorce dans le milieu journaliste. «En 1989 une amie hollandaise avait réalisé une étude qui révélait que 38% des femmes journalistes ont divorçaient» a-t-elle indiqué. Poursuivant, elle a exhorté ces jeunes consœurs à miser sur leur compétence et à persévérer pour arriver à faire une carrière sans faute.
Le séminaire qui s’est tenu du 05 au 07 mars à Thiès a été organisé par la fondation Konrad Adenaueur en collaboration avec le CESTI.