Hopital Général de Grand Yoff
Le cadre unitaire des travailleurs de l’hôpital Général de Grand Yoff (HOGGY) va tenir une assemblée générale ce mardi pour dénoncer les "errements" de la direction générale dans la gestion et l’orientation budgétaire. Soucieux du devenir de l’hôpital, l’intersyndicale prévoit un plan d’actions allant du sit-in à la grève générale en passant par une marche et le dépôt d’un préavis de grève. Ce plan de bataille est concocté pour amener les autorités à prendre conscience de la situation précaire qui prévaut dans cet établissement de santé.
Jadis considérés comme des difficultés conjoncturelles, les maux dont souffre HOGGY s’avèrent plutôt d’ordre structurel entrainant des déficits budgétaires. Ce dysfonctionnement structurel touche à la fois les services de l’hôpital ainsi que son personnel, a confié le chargé de communication du cadre unitaire des travailleurs de l’hôpital général de grand Yoff, Cheikh Seck. "Il ne se passe pas un jour où un service ne fonctionne pas ou ne fonctionne au ralenti", s'est-il plaint.
En effet, Cheikh Seck a souligné qu'il y a un manque criant d’outils de travail pour les premiers soins tels que les gants, fils de suture dans les services d’urgence de laboratoire et de diagnostic qui constituent le poumon d’une structure de santé. "La plupart des fournisseurs de médicaments ont fermé les robinets car ladite structure n’arrive plus à honorer ses engagements. Une telle situation est imputable à la direction générale de l’hôpital qui s’adonne à des dépenses de prestige comme la construction de bâtiments" a dénoncé le chargé de communication du cadre unitaire des travailleurs de l’hôpital général de Grand Yoff.
Il a, ainsi ajouté que "le personnel souffre dans sa chair depuis des années. Ils ne perçoivent plus leurs primes encore moins les indemnités et le retard des salaires". A ce chapelet de frustrations s’ajoutent, selon lui, "le manque de couverture sociale, le non respect du versement à l’IPRES (Institut Prévoyance Retraite du Sénégal) des cotisations qu’on coupe dans leurs salaires".
Cheikh Seck est d'avis que les recommandations du ministre de la santé sommant la direction à mettre à la disposition des travailleurs le matériel de soins d’urgence ainsi que le paiement des dus est un coup d’épée dans l’eau car elles n’ont pas été respectées. Malgré la situation électrique qui prévaut entre les antagonistes, les services fonctionnent normalement. Le chargé de communication a tenu à préciser que les services d’urgence seront assurés si jamais une grève générale devait arriver.
Jadis considérés comme des difficultés conjoncturelles, les maux dont souffre HOGGY s’avèrent plutôt d’ordre structurel entrainant des déficits budgétaires. Ce dysfonctionnement structurel touche à la fois les services de l’hôpital ainsi que son personnel, a confié le chargé de communication du cadre unitaire des travailleurs de l’hôpital général de grand Yoff, Cheikh Seck. "Il ne se passe pas un jour où un service ne fonctionne pas ou ne fonctionne au ralenti", s'est-il plaint.
En effet, Cheikh Seck a souligné qu'il y a un manque criant d’outils de travail pour les premiers soins tels que les gants, fils de suture dans les services d’urgence de laboratoire et de diagnostic qui constituent le poumon d’une structure de santé. "La plupart des fournisseurs de médicaments ont fermé les robinets car ladite structure n’arrive plus à honorer ses engagements. Une telle situation est imputable à la direction générale de l’hôpital qui s’adonne à des dépenses de prestige comme la construction de bâtiments" a dénoncé le chargé de communication du cadre unitaire des travailleurs de l’hôpital général de Grand Yoff.
Il a, ainsi ajouté que "le personnel souffre dans sa chair depuis des années. Ils ne perçoivent plus leurs primes encore moins les indemnités et le retard des salaires". A ce chapelet de frustrations s’ajoutent, selon lui, "le manque de couverture sociale, le non respect du versement à l’IPRES (Institut Prévoyance Retraite du Sénégal) des cotisations qu’on coupe dans leurs salaires".
Cheikh Seck est d'avis que les recommandations du ministre de la santé sommant la direction à mettre à la disposition des travailleurs le matériel de soins d’urgence ainsi que le paiement des dus est un coup d’épée dans l’eau car elles n’ont pas été respectées. Malgré la situation électrique qui prévaut entre les antagonistes, les services fonctionnent normalement. Le chargé de communication a tenu à préciser que les services d’urgence seront assurés si jamais une grève générale devait arriver.