Une augmentation de 12% est notée sur le sachet de 30 cl qui passe ainsi de 235 à 250 francs Cfa. Cette nouvelle hausse est décidée par l’usine productrice de l’huile, la Sunéor. Elle est entrée en vigueur ce mercredi 20 mai. Cette mesure n’agréé par ailleurs bon nombre d’acteurs du commerce notamment les grossistes et les consommateurs.
En effet, Mamadou Ndiaye vendeur en gros au marché Grand-Yoff rue dans les brancards. Selon lui, «les hausses effectuées sur les prix des denrées de consommation courante posent d’énormes difficultés parce que les clients leur traitent de voleurs». Mamadou Ndiaye de relever : «le hic cette fois-ci est que la hausse ne vient pas du ministère du commerce mais de l’entreprise Suneor». Le grossiste établie au marché Grand Yoff a, dans le même sillage, indiqué que «si le service chargé du contrôle des prix effectue une descente sur le marché et constate une hausse, ce sont les vendeurs qui vont payer les pots cassés».
Effectivement, il est prévu après l’annonce de cette hausse, une descente des éléments du service de contrôle du ministère du Commerce sur le terrain. Les autorités du ministère du commerce ont confié ne pas comprendre les soubassements de cette augmentation alors qu’il y a un arrêté qui date du28 avril 2009 qui régit la structuration des prix sur le marché.
Les boutiquiers ne cherchent pas à comprendre. L’un d’eux trouvé à Grand Yoff a estimé :«si les commerçants grossistes augmentent, je serais obligé d’augmenter sous peine de subir une perte».
Une consumériste et en même tant commerçante s’en prend à l’Etat. La vendeuse de Fataya de dénoncer : «le gouvernement est irresponsable parce qu’on ne peut pas réduire aujourd’hui et augmenter demain, c’est inadmissible».
Les lamentations reprennent de l’ampleur. «Les temps sont difficiles, les gens n’ont pas de quoi se procurer les trois repas quotidiens et si le gouvernement reste insensible à la souffrance de la population, il ne reste qu’à tout remettre au bon Dieu», a confessé une maman appelée affectueusement «mère Ndiaye».
Ces hausses à répétitions sont aussi dénoncées par les associations consuméristes. L’ASCOSEN (Association des Consommateurs du Sénégal) monte au créneau pour s’indigner et faire dans la menace.
En effet, Mamadou Ndiaye vendeur en gros au marché Grand-Yoff rue dans les brancards. Selon lui, «les hausses effectuées sur les prix des denrées de consommation courante posent d’énormes difficultés parce que les clients leur traitent de voleurs». Mamadou Ndiaye de relever : «le hic cette fois-ci est que la hausse ne vient pas du ministère du commerce mais de l’entreprise Suneor». Le grossiste établie au marché Grand Yoff a, dans le même sillage, indiqué que «si le service chargé du contrôle des prix effectue une descente sur le marché et constate une hausse, ce sont les vendeurs qui vont payer les pots cassés».
Effectivement, il est prévu après l’annonce de cette hausse, une descente des éléments du service de contrôle du ministère du Commerce sur le terrain. Les autorités du ministère du commerce ont confié ne pas comprendre les soubassements de cette augmentation alors qu’il y a un arrêté qui date du28 avril 2009 qui régit la structuration des prix sur le marché.
Les boutiquiers ne cherchent pas à comprendre. L’un d’eux trouvé à Grand Yoff a estimé :«si les commerçants grossistes augmentent, je serais obligé d’augmenter sous peine de subir une perte».
Une consumériste et en même tant commerçante s’en prend à l’Etat. La vendeuse de Fataya de dénoncer : «le gouvernement est irresponsable parce qu’on ne peut pas réduire aujourd’hui et augmenter demain, c’est inadmissible».
Les lamentations reprennent de l’ampleur. «Les temps sont difficiles, les gens n’ont pas de quoi se procurer les trois repas quotidiens et si le gouvernement reste insensible à la souffrance de la population, il ne reste qu’à tout remettre au bon Dieu», a confessé une maman appelée affectueusement «mère Ndiaye».
Ces hausses à répétitions sont aussi dénoncées par les associations consuméristes. L’ASCOSEN (Association des Consommateurs du Sénégal) monte au créneau pour s’indigner et faire dans la menace.