L’Association des commerçants et industriels du Sénégal (ACIS) a tenu une conférence de presse ce jeudi 3 octobre, afin de soulever plusieurs préoccupations majeures affectant le secteur économique. Parmi les sujets abordés figurent les refus fréquents de visas par les ambassades au Sénégal, la concurrence déloyale des acteurs chinois et indiens, ainsi que les difficultés rencontrées au port autonome de Dakar.
Khadim Sylla, président de l’ACIS, a qualifié ces problèmes d’« obstacles qui impactent gravement le tissu économique et freinent le développement de notre pays ». Il a exprimé sa frustration face aux refus de visas, qui sont devenus une « source de frustration pour les entrepreneurs, étudiants, et hommes d'affaires ».
Refus de visas sans explication claire
Selon lui, ces refus de visas par les ambassades sont devenus une « source de frustrations pour les entrepreneurs, étudiants, hommes d’affaires, étudiants, et même les travailleurs qualifiés ».
Pour Khadim Sylla, « ces refus, souvent sans explication claire, mettent en péril de nombreux projets de coopération internationale, d'investissements et de partenariats commerciaux et il est aussi source d'enrichissement illicite de ces ambassades ».
D’après le président de l’ACIS, « nos entreprises perdent des opportunités de participer à des salons internationaux, d'acquérir de nouvelles compétences et de conclure des contrats avec des partenaires étrangers ».
Poursuivant dans sa déclaration, il a plaidé pour une plus grande transparence dans les processus de délivrance des visas, ainsi qu'une meilleure coopération entre le gouvernement sénégalais et les ambassades concernées, afin de faciliter les démarches pour nos citoyens ».
Concurrence déloyale des acteurs étrangers
M. Sylla exige la « réciprocité de la délivrance des visas pour tous les pays concernés et le remboursement des frais de visa non accordé ».
Outre la question des visas, l’ACIS a dénoncé la concurrence déloyale des acteurs étrangers, notamment chinois et indiens, qui, selon Sylla, contournent « les lois fiscales et pratiquent le dumping des prix. Ces pratiques faussent la concurrence et pénalisent les commerçants locaux ».
Khadim Sylla a également mis en lumière les dysfonctionnements du port autonome de Dakar, pointant du doigt les coûts additionnels imprévus, le non-respect des tarifs homologués, ainsi que les retards dans la livraison des conteneurs. Ces irrégularités affectent directement les entreprises sénégalaises et aggravent le coût de la vie pour les consommateurs.
L’ACIS a ainsi interpellé les « autorités sénégalaises, en particulier le président de la République Bassirou Diomaye Faye, pour trouver des solutions à ces problématiques interconnectées ».
Khadim Sylla a conclu en demandant un « engagement ferme pour réformer les procédures de visas, réguler la concurrence étrangère et améliorer l’efficacité des opérations portuaires, afin de soutenir le développement économique du Sénégal ».
Khadim Sylla, président de l’ACIS, a qualifié ces problèmes d’« obstacles qui impactent gravement le tissu économique et freinent le développement de notre pays ». Il a exprimé sa frustration face aux refus de visas, qui sont devenus une « source de frustration pour les entrepreneurs, étudiants, et hommes d'affaires ».
Refus de visas sans explication claire
Selon lui, ces refus de visas par les ambassades sont devenus une « source de frustrations pour les entrepreneurs, étudiants, hommes d’affaires, étudiants, et même les travailleurs qualifiés ».
Pour Khadim Sylla, « ces refus, souvent sans explication claire, mettent en péril de nombreux projets de coopération internationale, d'investissements et de partenariats commerciaux et il est aussi source d'enrichissement illicite de ces ambassades ».
D’après le président de l’ACIS, « nos entreprises perdent des opportunités de participer à des salons internationaux, d'acquérir de nouvelles compétences et de conclure des contrats avec des partenaires étrangers ».
Poursuivant dans sa déclaration, il a plaidé pour une plus grande transparence dans les processus de délivrance des visas, ainsi qu'une meilleure coopération entre le gouvernement sénégalais et les ambassades concernées, afin de faciliter les démarches pour nos citoyens ».
Concurrence déloyale des acteurs étrangers
M. Sylla exige la « réciprocité de la délivrance des visas pour tous les pays concernés et le remboursement des frais de visa non accordé ».
Outre la question des visas, l’ACIS a dénoncé la concurrence déloyale des acteurs étrangers, notamment chinois et indiens, qui, selon Sylla, contournent « les lois fiscales et pratiquent le dumping des prix. Ces pratiques faussent la concurrence et pénalisent les commerçants locaux ».
Khadim Sylla a également mis en lumière les dysfonctionnements du port autonome de Dakar, pointant du doigt les coûts additionnels imprévus, le non-respect des tarifs homologués, ainsi que les retards dans la livraison des conteneurs. Ces irrégularités affectent directement les entreprises sénégalaises et aggravent le coût de la vie pour les consommateurs.
L’ACIS a ainsi interpellé les « autorités sénégalaises, en particulier le président de la République Bassirou Diomaye Faye, pour trouver des solutions à ces problématiques interconnectées ».
Khadim Sylla a conclu en demandant un « engagement ferme pour réformer les procédures de visas, réguler la concurrence étrangère et améliorer l’efficacité des opérations portuaires, afin de soutenir le développement économique du Sénégal ».