Selon la COSYDEP, établir un bilan des 12 mois écoulés, c’est d’abord rappeler que l’année civile 2024 est à cheval sur deux années scolaires. En effet, précise-t-elle, l’année scolaire 2023 – 2024 s’est achevée avec des taux de réussite aux examens scolaires relativement bas (en moyenne un élève sur deux a réussi ou échoué dans tous les examens).
Pour l’année scolaire 2024 – 2025, la COSYDEP souligne qu’elle a démarré avec une forte mobilisation des autorités et des communautés autour de la préparation de la rentrée, renforçant ainsi la campagne « Ubbi Tey Jàng Tey ».
D’après l’organisation, 2024 conforte ainsi la nécessité de « diversifier les alternatives pédagogiques face aux facteurs exogènes qui invitent à garantir la continuité des apprentissages en toute circonstance tout en assurant la protection des enfants, de leurs enseignants et des lieux d’apprentissage ».
Toujours selon la COSYDEP, « 2025 devrait marquer l’effectivité du droit à une éducation fondamentale pour tours, dans une vision humaniste et avec une attention soutenue sur la problématique de l’état civil, sur les enfants hors structures éducatives, sur la cartographie, la régulation et le renforcement des toutes les offres éducatives (non formel, daara, formation professionnelle, petite enfance) ».
A en croire l'organisation, « 2025 devrait consolider un partenariat intra et intersectoriel fort qui s’appuie sur les opportunités technologiques, anticipe les crises et menaces multiformes, exploite les contributions de la société civile, tient compte des attentes des jeunes pour construire un plan de développement de l’éducation et de la formation pertinent, inclusif et à même de traverser tout régime politique ».
Mieux, l’organisation dirigée par Cheikh Mbow souligne que 2025 devrait être l’année du renforcement de la résilience du secteur en se décidant à augmenter, de manière substantielle, le budget d’investissement qui permet de disposer d’écoles répondant aux normes d’hygiène et d’assainissement, de salubrité et de sécurité.
« 2025 devrait concrétiser l’engagement pour la résorption des déficits criards en enseignants et salles de classe, en équipements et supports en adressant résolument le triptyque ‘‘Abris provisoires qui ne devraient plus durer plus de deux ans, Réhabilitation des établissements vétustes et Elargissement du réseau scolaire face à la croissance démographique », peut-on lire dans le communiqué.
Renforcement du secteur éducatif
En outre, la COSYDEP préconise que 2025 devrait garantir la fonctionnalité des cadres de dialogue et de suivi des accords en adressant les questions spécifiques (décisionnaires, classes spéciales, zones vulnérables) qui nécessitent des stratégies spécifiques combinées à une forte volonté politique.
Dans cet élan, la COSYDEP réaffirme son engagement à contribuer activement au renforcement du secteur éducatif. Elle appelle à : « orienter les ressources dans la prise en charge de la vulnérabilité sous toutes ses formes, des crises et des situations d’urgence ; dans la gouvernance du financement de l’éducation ; dans le décloisonnement du secteur face aux exigences du numérique, de l’Intelligence Artificielle et du développement durable ; privilégier une approche holistique et prospective qui permet de mieux prioriser les actions, mieux cibler les défis à relever et bien planifier leur prise en charge ; engager urgemment le chantier de la transformation qualitative du système éducatif qui nécessite à la fois une claire vision, des ressources conséquentes et une méthodologie scientifique participative ».
Convaincue qu'une volonté politique forte, combinée à la collaboration de tous les acteurs, peut garantir une transformation qualitative réussie, la COSYDEP insiste sur l'importance d'assurer les équilibres, les interactions et les relations indispensables pour résoudre les problématiques identifiées.
Elle conclut son message en formulant ses vœux pour une excellente année 2025, placée sous le signe de la réussite éducative.
Pour l’année scolaire 2024 – 2025, la COSYDEP souligne qu’elle a démarré avec une forte mobilisation des autorités et des communautés autour de la préparation de la rentrée, renforçant ainsi la campagne « Ubbi Tey Jàng Tey ».
D’après l’organisation, 2024 conforte ainsi la nécessité de « diversifier les alternatives pédagogiques face aux facteurs exogènes qui invitent à garantir la continuité des apprentissages en toute circonstance tout en assurant la protection des enfants, de leurs enseignants et des lieux d’apprentissage ».
Toujours selon la COSYDEP, « 2025 devrait marquer l’effectivité du droit à une éducation fondamentale pour tours, dans une vision humaniste et avec une attention soutenue sur la problématique de l’état civil, sur les enfants hors structures éducatives, sur la cartographie, la régulation et le renforcement des toutes les offres éducatives (non formel, daara, formation professionnelle, petite enfance) ».
A en croire l'organisation, « 2025 devrait consolider un partenariat intra et intersectoriel fort qui s’appuie sur les opportunités technologiques, anticipe les crises et menaces multiformes, exploite les contributions de la société civile, tient compte des attentes des jeunes pour construire un plan de développement de l’éducation et de la formation pertinent, inclusif et à même de traverser tout régime politique ».
Mieux, l’organisation dirigée par Cheikh Mbow souligne que 2025 devrait être l’année du renforcement de la résilience du secteur en se décidant à augmenter, de manière substantielle, le budget d’investissement qui permet de disposer d’écoles répondant aux normes d’hygiène et d’assainissement, de salubrité et de sécurité.
« 2025 devrait concrétiser l’engagement pour la résorption des déficits criards en enseignants et salles de classe, en équipements et supports en adressant résolument le triptyque ‘‘Abris provisoires qui ne devraient plus durer plus de deux ans, Réhabilitation des établissements vétustes et Elargissement du réseau scolaire face à la croissance démographique », peut-on lire dans le communiqué.
Renforcement du secteur éducatif
En outre, la COSYDEP préconise que 2025 devrait garantir la fonctionnalité des cadres de dialogue et de suivi des accords en adressant les questions spécifiques (décisionnaires, classes spéciales, zones vulnérables) qui nécessitent des stratégies spécifiques combinées à une forte volonté politique.
Dans cet élan, la COSYDEP réaffirme son engagement à contribuer activement au renforcement du secteur éducatif. Elle appelle à : « orienter les ressources dans la prise en charge de la vulnérabilité sous toutes ses formes, des crises et des situations d’urgence ; dans la gouvernance du financement de l’éducation ; dans le décloisonnement du secteur face aux exigences du numérique, de l’Intelligence Artificielle et du développement durable ; privilégier une approche holistique et prospective qui permet de mieux prioriser les actions, mieux cibler les défis à relever et bien planifier leur prise en charge ; engager urgemment le chantier de la transformation qualitative du système éducatif qui nécessite à la fois une claire vision, des ressources conséquentes et une méthodologie scientifique participative ».
Convaincue qu'une volonté politique forte, combinée à la collaboration de tous les acteurs, peut garantir une transformation qualitative réussie, la COSYDEP insiste sur l'importance d'assurer les équilibres, les interactions et les relations indispensables pour résoudre les problématiques identifiées.
Elle conclut son message en formulant ses vœux pour une excellente année 2025, placée sous le signe de la réussite éducative.
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