
La Rapporteuse spéciale des Nations Unies, Alice Jill Edwards, en visite officielle au Sénégal a exhorté le gouvernement sénégalais à revenir sur la loi, estimant que l’Etat a « l’obligation d’établir la vérité sur ces événements, de rendre justice et d’accorder des réparations aux victimes ».
Cette position d’après elle s’inscrit dans une démarche plus large de lutte contre l’impunité et de respect des droits humains.
Dans un communiqué publié à l’issue de son séjour qui a pris fin hier jeudi, elle a formulé plusieurs recommandations, notamment l’abrogation de la loi d’amnistie couvrant les évènements survenus entre mars 2021 et février 2024.
« Je demande instamment au Sénégal d’abroger la loi d’amnistie qui accorde une immunité de poursuites aux personnes qui auraient été impliquées dans le recours à une force excessive et dans d’autres violations des droits de l’homme commises lors des manifestations entre mars 2021 et février 2024 », a déclaré Mme Edwards. Elle a insisté sur le fait que « le gouvernement a l’obligation d’établir la vérité sur ces événements, de rendre justice et d’accorder des réparations aux victimes dans les meilleurs délais ».
Au cours de sa visite, souligne la rts, la rapporteuse s’est intéressée à l’application de la loi par les forces de l’ordre, notamment la police et la gendarmerie, en matière de contrôle des foules et d’enquêtes. Elle a souligné la nécessité de revoir les pratiques en vigueur et d’assurer une meilleure conformité avec les standards internationaux en matière de droits de l’homme.
Elle a conclu en annonçant qu’un rapport détaillant ses observations et recommandations sera présenté au Conseil des droits de l’homme des Nations Unies en mars 2026.
Cette position d’après elle s’inscrit dans une démarche plus large de lutte contre l’impunité et de respect des droits humains.
Dans un communiqué publié à l’issue de son séjour qui a pris fin hier jeudi, elle a formulé plusieurs recommandations, notamment l’abrogation de la loi d’amnistie couvrant les évènements survenus entre mars 2021 et février 2024.
« Je demande instamment au Sénégal d’abroger la loi d’amnistie qui accorde une immunité de poursuites aux personnes qui auraient été impliquées dans le recours à une force excessive et dans d’autres violations des droits de l’homme commises lors des manifestations entre mars 2021 et février 2024 », a déclaré Mme Edwards. Elle a insisté sur le fait que « le gouvernement a l’obligation d’établir la vérité sur ces événements, de rendre justice et d’accorder des réparations aux victimes dans les meilleurs délais ».
Au cours de sa visite, souligne la rts, la rapporteuse s’est intéressée à l’application de la loi par les forces de l’ordre, notamment la police et la gendarmerie, en matière de contrôle des foules et d’enquêtes. Elle a souligné la nécessité de revoir les pratiques en vigueur et d’assurer une meilleure conformité avec les standards internationaux en matière de droits de l’homme.
Elle a conclu en annonçant qu’un rapport détaillant ses observations et recommandations sera présenté au Conseil des droits de l’homme des Nations Unies en mars 2026.
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