Le 23 juin 2011, un mouvement de contestation violent avait conduit, au Sénégal, le pouvoir à retirer son projet de réforme constitutionnelle. Aujourd’hui, la classe politique tente toujours de comprendre ces manifestations.
Pour Moustapha Guirassy, ministre de la Communication et membre du comité directeur du PDS, le parti au pouvoir, c’est la classe politique dans son ensemble qui est interpellée par le coup de colère de la population.
Un collectif de rappeurs et de journalistes, appelé « Y’en a marre », exprime notamment cette colère depuis janvier 2011. Ceux qui l’animent avaient, lundi 27 juin 2011, appelé le président Abdoulaye Wade à ne pas se présenter en 2012.
Moustapha Guirassy, ministre sénégalais de la Communication: "Ce qui s’est passé le 23 juin interpelle autant l’opposition que le parti au pouvoir. Les responsabilités doivent être assumées de part et d’autre".
Source Rfi
Pour Moustapha Guirassy, ministre de la Communication et membre du comité directeur du PDS, le parti au pouvoir, c’est la classe politique dans son ensemble qui est interpellée par le coup de colère de la population.
Un collectif de rappeurs et de journalistes, appelé « Y’en a marre », exprime notamment cette colère depuis janvier 2011. Ceux qui l’animent avaient, lundi 27 juin 2011, appelé le président Abdoulaye Wade à ne pas se présenter en 2012.
Moustapha Guirassy, ministre sénégalais de la Communication: "Ce qui s’est passé le 23 juin interpelle autant l’opposition que le parti au pouvoir. Les responsabilités doivent être assumées de part et d’autre".
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