Les litiges fonciers notamment celui qui oppose les paysans de Ndengler au Directeur général (Dg) de la Sédima, Babacar Ngom, seront bientôt un vieux souvenir, si l’on en croit à l’Administrateur de l’Alliance pour la République (Apr, parti au pouvoir). La raison, a révélé Maël Thiam, à l’émission Jury du dimanche sur Iradio, la loi sur la réforme foncière pour protéger les terres sera bientôt votée à l’Assemblée nationale.
« La solution définitive est en train d’être étudiée et doit surgir de la concertation. Il n’y a pas que Ndengler où l'on peut trouver 300 hectares. Je pense que la concertation qui a déjà été entamée avec la facilitation de certains membres du gouvernement devra certainement aboutir à un accord. Je ne pense pas qu’on va vivre un blocage éternel sur cette question », a déclaré le 1er vice-président du HCCT (Haut Conseil des Collectivités Territoriales).
Selon lui : « Il y a un titre foncier, mais il y a également un vide sur ce problème. L’Assemblée nationale ne va pas légiférer que pour un cas, quand on légifère, c’est de manière générale ».
A en croire M. Thiam, il faudra tenir compte sur beaucoup de choses, avant de régler définitivement ce problème foncier. D’où, « la motivation du président de la République, en commettant la Commission nationale de réforme foncière ». Seulement, a déploré l’invité de I-radio, « Il y a des imprécisions sur les modalités d’application des recommandations ».
« La solution définitive est en train d’être étudiée et doit surgir de la concertation. Il n’y a pas que Ndengler où l'on peut trouver 300 hectares. Je pense que la concertation qui a déjà été entamée avec la facilitation de certains membres du gouvernement devra certainement aboutir à un accord. Je ne pense pas qu’on va vivre un blocage éternel sur cette question », a déclaré le 1er vice-président du HCCT (Haut Conseil des Collectivités Territoriales).
Selon lui : « Il y a un titre foncier, mais il y a également un vide sur ce problème. L’Assemblée nationale ne va pas légiférer que pour un cas, quand on légifère, c’est de manière générale ».
A en croire M. Thiam, il faudra tenir compte sur beaucoup de choses, avant de régler définitivement ce problème foncier. D’où, « la motivation du président de la République, en commettant la Commission nationale de réforme foncière ». Seulement, a déploré l’invité de I-radio, « Il y a des imprécisions sur les modalités d’application des recommandations ».