
Nouveau rebondissement sur la scène politique sénégalaise. Le Conseil constitutionnel a tranché ce mercredi. La loi d’interprétation de la loi d’amnistie, votée le 2 avril dernier par l’Assemblée nationale, est jugée contraire à la Constitution. Ce texte "controversé", soutenu par le groupe parlementaire majoritaire Pastef, avait été introduit par le député Amadou Ba.
La loi visait à clarifier certaines dispositions de la loi d’amnistie adoptée sous la présidence de Macky Sall. Cette dernière, promulguée en 2024, portait sur les infractions commises dans le cadre des manifestations politiques survenues entre février 2021 et février 2024, une période marquée par de vives tensions et plusieurs arrestations parmi les opposants au pouvoir en place à l’époque.
L’application de la loi d’amnistie avait notamment permis la libération de figures de proue de l’opposition, dont l’actuel président de la République, Bassirou Diomaye Faye, et son Premier ministre, Ousmane Sonko.
La loi visait à clarifier certaines dispositions de la loi d’amnistie adoptée sous la présidence de Macky Sall. Cette dernière, promulguée en 2024, portait sur les infractions commises dans le cadre des manifestations politiques survenues entre février 2021 et février 2024, une période marquée par de vives tensions et plusieurs arrestations parmi les opposants au pouvoir en place à l’époque.
L’application de la loi d’amnistie avait notamment permis la libération de figures de proue de l’opposition, dont l’actuel président de la République, Bassirou Diomaye Faye, et son Premier ministre, Ousmane Sonko.
Autres articles
-
Dakar recadre Jeune Afrique : une mise en demeure en réponse aux excès
-
Questions écrites au Gouvernement : Ayib Daffé déplore leur publication sur les réseaux sociaux
-
Daaka 2025 : Ousmane Sonko est arrivé à Médina Gounass pour la cérémonie officielle
-
Seydi Gassama : « le fils de Macky Sall n’a rien à craindre s’il est convoqué par la justice »
-
Levée de l'immunité parlementaire de cinq (5) ex-ministres : Ayib Daffé détaille la procédure et plaide pour une réforme du règlement intérieur