Dans le cadre de la campagne nationale de lutte contre la recrudescence des accidents de la circulation et en relation avec l'Agence nationale de sécurité routière (ANASER), les parties prenantes ont été convoquées en réunion du comité régional de Développement, ce mercredi dans un hôtel de la place. Ce, pour traiter les opérations de contrôle routier, informer et à sensibiliser les acteurs sur la sécurité routière, mais également à recueillir leurs préoccupations ainsi que leurs recommandations pour la réduction des accidents et une meilleure prise en compte de leurs attentes.
« Nous sommes réunies ici dans le cadre de l'Agence nationale de Sécurité routière (ANASER). Donc réfléchir, ou-bien contribuer sur la recrudescence des accidents de la route. Mais également sur la sécurité routière d’une manière globale. C’est la raison pour laquelle nous avons convié aujourd’hui, l’ensemble des acteurs qui sont concernés. À savoir les équipes de l’ANASER, les forces de défense et de sécurité, les préfets et les sous-préfets, les organisations des transporteurs, les sociétés d’auto-école, et l’ensemble des acteurs de la société civile pour réfléchir sur la question des accidents au niveau de la région de Dakar », a déclaré le Gouverneur de Dakar.
Mieux ajoute Assane Gueye, « les accidents peuvent être liés à plusieurs facteurs. On peut citer le facteur humain (la distraction, la faible maîtrise du code de la route) par certains conducteurs, des infrastructures routières. L’Etat du Sénégal à beaucoup investi sur les infrastructures routières. 86% des infrastructures routières sont fonctionnelles. Mais les accidents étant liés à la société humaine ».
Pour sa part, Cheikh Oumar Gaye, directeur de l’Agence nationale de sécurité routière, précise que c’est une occasion pour revisiter tous les aspects de la sécurité routière.
« Un moment inclusif qui permettra d’avoir des éléments et des consensus sur un plan d’action qu’il faudra appliquer. Et ces éléments seront reversés lors des états généraux des transports qui, se tiendront au mois de juillet. Quand on parle d’excès de vitesse, donc c’est de la négligence. Quand on parle de conduire en état d’ébriété, c’est l’individu qui se met dans cet état-là. Ce sont des éléments qu’on peut éviter et qui peuvent donner des chances de réduire le nombre d’accidents. Il ne faut pas se tromper, il y aura toujours des accidents », a dit le Directeur de l’ANASER.
D’après lui, dans le monde, l’objectif de la première décennie, c’était de réduire de moitié les blessés graves et les nombres de morts sur les routes à l’horizon 2011 - 2020. « L’objectif n’a jamais était atteint par aucun pays dans le monde », a laissé entendre M. Gaye.
« Nous sommes réunies ici dans le cadre de l'Agence nationale de Sécurité routière (ANASER). Donc réfléchir, ou-bien contribuer sur la recrudescence des accidents de la route. Mais également sur la sécurité routière d’une manière globale. C’est la raison pour laquelle nous avons convié aujourd’hui, l’ensemble des acteurs qui sont concernés. À savoir les équipes de l’ANASER, les forces de défense et de sécurité, les préfets et les sous-préfets, les organisations des transporteurs, les sociétés d’auto-école, et l’ensemble des acteurs de la société civile pour réfléchir sur la question des accidents au niveau de la région de Dakar », a déclaré le Gouverneur de Dakar.
Mieux ajoute Assane Gueye, « les accidents peuvent être liés à plusieurs facteurs. On peut citer le facteur humain (la distraction, la faible maîtrise du code de la route) par certains conducteurs, des infrastructures routières. L’Etat du Sénégal à beaucoup investi sur les infrastructures routières. 86% des infrastructures routières sont fonctionnelles. Mais les accidents étant liés à la société humaine ».
Pour sa part, Cheikh Oumar Gaye, directeur de l’Agence nationale de sécurité routière, précise que c’est une occasion pour revisiter tous les aspects de la sécurité routière.
« Un moment inclusif qui permettra d’avoir des éléments et des consensus sur un plan d’action qu’il faudra appliquer. Et ces éléments seront reversés lors des états généraux des transports qui, se tiendront au mois de juillet. Quand on parle d’excès de vitesse, donc c’est de la négligence. Quand on parle de conduire en état d’ébriété, c’est l’individu qui se met dans cet état-là. Ce sont des éléments qu’on peut éviter et qui peuvent donner des chances de réduire le nombre d’accidents. Il ne faut pas se tromper, il y aura toujours des accidents », a dit le Directeur de l’ANASER.
D’après lui, dans le monde, l’objectif de la première décennie, c’était de réduire de moitié les blessés graves et les nombres de morts sur les routes à l’horizon 2011 - 2020. « L’objectif n’a jamais était atteint par aucun pays dans le monde », a laissé entendre M. Gaye.