Au Sénégal, les internes en médecine et les anciens internes des hôpitaux subiront un arrêt de travail à compter du 14 novembre et jusqu'au 30 décembre 2024. Ce préavis de grève, annoncé par l'Association des Internes et Anciens Internes des Hôpitaux du Sénégal (AIAIHS), survient suite à des revendications conservées sans réponse, selon le collectif.
Dans un courrier adressé au ministre de la Santé et de l'Action sociale, les internes expriment leur frustration face à ce qu'ils considèrent comme un manque de dialogue sur des questions cruciales pour leur avenir. « (...)la dernière démarche remonte au 19 octobre. Mais en l'absence de réponse, nous sommes contraints d'entamer ce mouvement », peut-on lire dans la note de l'AIAIHS.
Les internes demandent notamment la révision de leur statut, en conformité avec les conclusions des assises de 2019, ainsi qu'une stratégie d'insertion professionnelle à l'enjeu de leur formation. Pour l'AIAIHS, l'absence de plan pour leur insertion post-internat crée une incertitude quant à leur avenir dans le secteur médical.
Le collectif appelle également à l'harmonisation de leur régime indemnitaire avec celui des autres agents du ministère, une promesse de longue date révisée en 2022 mais qui n'a toujours pas été appliquée.
Les conditions d'hébergement figurent également parmi les priorités des internes. Le logement de Fann
Enfin, les grévistes demandent une révision du programme du concours de l'internat.
Dans un courrier adressé au ministre de la Santé et de l'Action sociale, les internes expriment leur frustration face à ce qu'ils considèrent comme un manque de dialogue sur des questions cruciales pour leur avenir. « (...)la dernière démarche remonte au 19 octobre. Mais en l'absence de réponse, nous sommes contraints d'entamer ce mouvement », peut-on lire dans la note de l'AIAIHS.
Les internes demandent notamment la révision de leur statut, en conformité avec les conclusions des assises de 2019, ainsi qu'une stratégie d'insertion professionnelle à l'enjeu de leur formation. Pour l'AIAIHS, l'absence de plan pour leur insertion post-internat crée une incertitude quant à leur avenir dans le secteur médical.
Le collectif appelle également à l'harmonisation de leur régime indemnitaire avec celui des autres agents du ministère, une promesse de longue date révisée en 2022 mais qui n'a toujours pas été appliquée.
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