De manière générale, si la sécurisation de Dakar a été sensiblement renforcée depuis l’attentat de Ouagadougou, le 15 janvier, celle des sites balnéaires laisse à désirer. Les mesures adoptées sont peu visibles, voire « minimales », estime un diplomate occidental. « Les plages étant désormais des cibles au même titre que les cafés, les restaurants ou les hôtels, nous avons adapté notre dispositif en conséquence », confie une source à la présidence.
«Il aurait été irresponsable de ne rien faire après l’attentat de Bassam», renchérit une source sécuritaire, qui précise que c’est la gendarmerie qui a été chargée d’assurer la sécurité des stations balnéaires, notamment celle de la Petite Côte, au sud de la capitale.
«Il aurait été irresponsable de ne rien faire après l’attentat de Bassam», renchérit une source sécuritaire, qui précise que c’est la gendarmerie qui a été chargée d’assurer la sécurité des stations balnéaires, notamment celle de la Petite Côte, au sud de la capitale.