Le président du Conseil régional de Dakar, El Hadji Malick Gakou
Plusieurs études ont été réalisées pour faire face aux inondations, mais elles ne sont pas appliquées sur le terrain. Interrogé sur cette situation lors d’une conférence de presse organisée ce jeudi, El-Hadji Malick Gackou, le président du Conseil régional de Dakar a déclaré que ce sont la volonté politique et le manque de moyens qui ont entravé la gestion des inondations dans la capitale sénégalaise. L’absence de moyens n’est pas un motif d’abdication pour le président du conseil régional de Dakar. C’est ce qui explique la mise en place d’un cadre de concertation des collectivités locales de la région de Dakar, de l’Etat et des partenaires sur les inondations. Ce cadre a pour mission la mise en place d’un dispositif opérationnel de gestion des problèmes liés aux inondations dans le cadre de mesures d’urgence pour le très court terme et d’un plan d’action prioritaire concerté. Selon M. Gackou, l’entité devra participer sur des solutions aux problèmes liés à l’hivernage et la mobilisation des moyens de prise en charge intégrale et intégrée des populations victimes des inondations.
Selon le président, le cadre d’action fera à partir de dimanche une visite sur les sites touchés par les inondations pour constater de visu l’ampleur des dégâts et évaluer les besoins. «Il faut partir du plan Orsec pour s’acheminer vers un plan de prévision», a souligné El-hadji Malick Gackou qui ajoute : « nous n’avons pas de moyens, mais nous allons faire de notre mieux pour faire face».
Fonds de solidarité
Il s’agit selon le président d’avoir «une meilleure appropriation par les collectivités locales des systèmes nationaux de prévention et de gestion des risques et des avis motivés sur la situation des inondations et des risques d’inondations au niveau de chaque collectivité locale de Dakar. El-hadji Malick Gackou en appelle à la participation des populations concernées.
Pour mieux matérialiser leurs actions, les élus de la région de Dakar ont crée un fonds de solidarité qui a pour but d’apporter des réponses urgentes aux inondations qui sera logé à l’ARD de Dakar. «L’objectif est d’intervenir de manière opérationnelle afin d’aider les populations à avoir un hivernage tranquille», a dit le président, entouré de son vice-président, Ousmane Badiane et d’autres élus. Et M. Gackou d’affirmer : «quelle que soient les ressources disponibles, rien ne peut remplacer notre enthousiasme à aider les populations. L’ARD est en train d’évaluer les besoins. On ne peut pas avoir de l’argent pour face à certains prestiges et laisser les populations souffrir».
Selon le président, le cadre d’action fera à partir de dimanche une visite sur les sites touchés par les inondations pour constater de visu l’ampleur des dégâts et évaluer les besoins. «Il faut partir du plan Orsec pour s’acheminer vers un plan de prévision», a souligné El-hadji Malick Gackou qui ajoute : « nous n’avons pas de moyens, mais nous allons faire de notre mieux pour faire face».
Fonds de solidarité
Il s’agit selon le président d’avoir «une meilleure appropriation par les collectivités locales des systèmes nationaux de prévention et de gestion des risques et des avis motivés sur la situation des inondations et des risques d’inondations au niveau de chaque collectivité locale de Dakar. El-hadji Malick Gackou en appelle à la participation des populations concernées.
Pour mieux matérialiser leurs actions, les élus de la région de Dakar ont crée un fonds de solidarité qui a pour but d’apporter des réponses urgentes aux inondations qui sera logé à l’ARD de Dakar. «L’objectif est d’intervenir de manière opérationnelle afin d’aider les populations à avoir un hivernage tranquille», a dit le président, entouré de son vice-président, Ousmane Badiane et d’autres élus. Et M. Gackou d’affirmer : «quelle que soient les ressources disponibles, rien ne peut remplacer notre enthousiasme à aider les populations. L’ARD est en train d’évaluer les besoins. On ne peut pas avoir de l’argent pour face à certains prestiges et laisser les populations souffrir».
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