En prison depuis huit mois, le directeur de publication du quotidien «24 Heures-Chrono» , El Malick Seck sera libéré à 16 heures, selon la radio Futurs Médias qui donne l’information. Cette grâce présidentielle tombe enfin après moult médiations. Des journalistes, entrepreneurs et politiques ont joué les bons offices pour qu'El Malick Seck soit libéré.
Pour rappel, le directeur de publication du quotiden "24H CHRONO" a été condamné à 3 ans d’emprisonnement ferme alors que son journal avait fait l'objet d'une suspension de 3 mois. Il est poursuivi pour "diffusion de fausses nouvelles, d’offense au chef de l’Etat manœuvres à troubler l’ordre public et d’injures publiques".
C’est suite à la publication d’un article en début septembre 2008 que le journaliste avait été accusé de "diffusion de fausses nouvelles, d’offense au chef de l’Etat manœuvres à troubler l’ordre public et d’injures publiques". Il a été cependant, relaxé du chef d’accusation de recel de documents administratifs.
Dans l’article incriminé, El Malick Seck avait, selon le juge, jeté le discrédit sur le président Abdoulaye Wade et son fils Karim coupable à ses yeux de blanchiment d’argent provenant de la casse de Banques centrales en Côte d’Ivoire. Placé sous mandat de dépôt le 3 septembre 2008, il avait été condamné par le tribunal correctionnel de Dakar à une peine de prison de trois ans ferme et son journal avait écopé d’une suspension de trois mois.
Pour rappel, le directeur de publication du quotiden "24H CHRONO" a été condamné à 3 ans d’emprisonnement ferme alors que son journal avait fait l'objet d'une suspension de 3 mois. Il est poursuivi pour "diffusion de fausses nouvelles, d’offense au chef de l’Etat manœuvres à troubler l’ordre public et d’injures publiques".
C’est suite à la publication d’un article en début septembre 2008 que le journaliste avait été accusé de "diffusion de fausses nouvelles, d’offense au chef de l’Etat manœuvres à troubler l’ordre public et d’injures publiques". Il a été cependant, relaxé du chef d’accusation de recel de documents administratifs.
Dans l’article incriminé, El Malick Seck avait, selon le juge, jeté le discrédit sur le président Abdoulaye Wade et son fils Karim coupable à ses yeux de blanchiment d’argent provenant de la casse de Banques centrales en Côte d’Ivoire. Placé sous mandat de dépôt le 3 septembre 2008, il avait été condamné par le tribunal correctionnel de Dakar à une peine de prison de trois ans ferme et son journal avait écopé d’une suspension de trois mois.
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