La présidente du Conseil National de Régulation de l'Audiovisuel (CNRA)
Le CNRA a, dans son avis trimestriel parvenu ce lundi 19 janvier à la rédaction de pressafrik.com, dénoncé ces dysfonctionnements. Le groupe walfadjri a été le premier dans le viseur de l’organe de régulation des médias. «Aux écarts de langage notés dans les émissions «Ataya» et «Sortie» diffusées par la radio télévision Walfadjri et portant atteinte par certains aspects à la vie privée, à l’honneur et à l’intégrité de la personne humaine», a indiqué l’avis trimestriel n° 4/2008. Il a aussi dénoncé «les dérapages et dérives lors des revues de presse présentées par Fabrice Nguéma de Walfadjri et Ahmet Aïdara de la Radio Futurs Médias (RFM)».
La structure que dirige Nancy Ngom Ndiaye a aussi mis au banc des accusés Aïda Patra de la Radio Télévision Sénégalaise (RTS). Elle a constaté : «les dérives notées lors des émissions «Patra show» consacrées à la Tabaski et à la Tamkharite, diffusées à la télévision publique avec l’utilisation des moyens de l’Etat à des fins personnelles».
Le Conseil National de Régulation de l’Audiovisuel (CNRA) a, en outre, regretté la «dévalorisation de l’image de la femme par la diffusion de clips obscènes, notamment certains clips de Sidy Samb et de Salam Diallo et de Papa Ndiaye Thiopet».
«La propagande déguisée» lors de certaines émissions notamment celles consacrées à la lutte et aux cérémonies religieuses, la publicité des prétendus guérisseurs sur «Afia FM et Lamp Fall, les images choquantes des films, de la lutte et les gros plans sur les dépouilles mortelles, sont, en outre, entre autres points qui figurent en bonne place dans cet avis trimestriel.
Le CNRA a, dans ce sens, rappelé à l’ordre les responsables de ces organes de presse épinglés. Il a souligné que «de tels manquements constituent une violation des dispositions des textes législatifs et réglementaires en vigueur au Sénégal dans le domaine de l’audiovisuel». A cet effet, il a demandé aux responsables d’organes de veiller au respect de la vie privée et de l’honneur des citoyens, la liberté d’information et de la communication ayant comme corollaire le sens élevé des responsabilités. Nancy Ngom Ndiaye et son équipe ont demandé l’arrêt de la diffusion des clips obscènes. L’avis a noté que «le CNRA privilégiera toujours l’approche consensuelle par un travail de conseil, d’accompagnement et de persuasion avant toute application des mesures coercitives que lui confèrent la loi et les règlements en vigueur».
La structure que dirige Nancy Ngom Ndiaye a aussi mis au banc des accusés Aïda Patra de la Radio Télévision Sénégalaise (RTS). Elle a constaté : «les dérives notées lors des émissions «Patra show» consacrées à la Tabaski et à la Tamkharite, diffusées à la télévision publique avec l’utilisation des moyens de l’Etat à des fins personnelles».
Le Conseil National de Régulation de l’Audiovisuel (CNRA) a, en outre, regretté la «dévalorisation de l’image de la femme par la diffusion de clips obscènes, notamment certains clips de Sidy Samb et de Salam Diallo et de Papa Ndiaye Thiopet».
«La propagande déguisée» lors de certaines émissions notamment celles consacrées à la lutte et aux cérémonies religieuses, la publicité des prétendus guérisseurs sur «Afia FM et Lamp Fall, les images choquantes des films, de la lutte et les gros plans sur les dépouilles mortelles, sont, en outre, entre autres points qui figurent en bonne place dans cet avis trimestriel.
Le CNRA a, dans ce sens, rappelé à l’ordre les responsables de ces organes de presse épinglés. Il a souligné que «de tels manquements constituent une violation des dispositions des textes législatifs et réglementaires en vigueur au Sénégal dans le domaine de l’audiovisuel». A cet effet, il a demandé aux responsables d’organes de veiller au respect de la vie privée et de l’honneur des citoyens, la liberté d’information et de la communication ayant comme corollaire le sens élevé des responsabilités. Nancy Ngom Ndiaye et son équipe ont demandé l’arrêt de la diffusion des clips obscènes. L’avis a noté que «le CNRA privilégiera toujours l’approche consensuelle par un travail de conseil, d’accompagnement et de persuasion avant toute application des mesures coercitives que lui confèrent la loi et les règlements en vigueur».