La faculté de droit n’est pas aussi déserte que l’on pouvait espérer. Un groupe d’étudiants au nombre de six est assis sur les marches du bâtiment de la faculté. Il est en pleine discussion et s’esclaffe de rires. Ces étudiants profitent du bon temps et surtout de la grève des 96h décrétée par l’amicale de la faculté de droit.
Les bancs de repos qui accueillaient d’habitude beaucoup d’étudiants sont presque inoccupés. Ndèye Astou Sagna est étudiante en deuxième année de droit à l’UCAD. Teint noir et coiffée avec de longues mèches, l’étudiante casamançaise profite bien de la grève. Il a été surprise sur ces bancs en train de réviser ses cours. «Je suis là depuis 9 heures. Je profite des jours de repos pour apprendre quelques leçons», a-t-elle lancé.
Ndèye Astou Sagna soutient la cause de ses camarades et trouve raisonnable les motifs de la grève. «J’étais présente hier (mercredi) à l’assemblée générale. Les revendications sont normales. Le recteur doit les recevoir avant que les grèves ne se généralisent dans les autres facultés».
Sur leur plate forme revendication, les délégués de l’amical des étudiants de la faculté de droit ont exigé le départ du recteur Abdou Salam Sall, l’orientation immédiate des bacheliers, la résolution du cas des maîtrisards de droit etc.
Revendications légitimes selon Alioune Sarr, l’unique membre de l’amicale trouvé sur place. Ce dernier a estimé qu’«il est anormale, que des personnes ayant réussies le baccalauréat ne soient pas orientées dans une faculté». Pour ce qui est du cas des maîtrisards, Alioune Sarr a souligné que «la direction leur demande une moyenne de 12 /20 pour qu’ils soient acceptés en DEA. Ce que ces derniers n’ont pu obtenir. Leur moyenne tourne autour de 11/20».
Et sur le troisième point, l’étudiant en licence de droit de marteler «Abdou Salam Sall est indésirable au niveau de l’UCAD, il ne se préoccupe pas des problèmes qui secouent ce temple du savoir. Le dialogue est exclu dans son univers».
Les bancs de repos qui accueillaient d’habitude beaucoup d’étudiants sont presque inoccupés. Ndèye Astou Sagna est étudiante en deuxième année de droit à l’UCAD. Teint noir et coiffée avec de longues mèches, l’étudiante casamançaise profite bien de la grève. Il a été surprise sur ces bancs en train de réviser ses cours. «Je suis là depuis 9 heures. Je profite des jours de repos pour apprendre quelques leçons», a-t-elle lancé.
Ndèye Astou Sagna soutient la cause de ses camarades et trouve raisonnable les motifs de la grève. «J’étais présente hier (mercredi) à l’assemblée générale. Les revendications sont normales. Le recteur doit les recevoir avant que les grèves ne se généralisent dans les autres facultés».
Sur leur plate forme revendication, les délégués de l’amical des étudiants de la faculté de droit ont exigé le départ du recteur Abdou Salam Sall, l’orientation immédiate des bacheliers, la résolution du cas des maîtrisards de droit etc.
Revendications légitimes selon Alioune Sarr, l’unique membre de l’amicale trouvé sur place. Ce dernier a estimé qu’«il est anormale, que des personnes ayant réussies le baccalauréat ne soient pas orientées dans une faculté». Pour ce qui est du cas des maîtrisards, Alioune Sarr a souligné que «la direction leur demande une moyenne de 12 /20 pour qu’ils soient acceptés en DEA. Ce que ces derniers n’ont pu obtenir. Leur moyenne tourne autour de 11/20».
Et sur le troisième point, l’étudiant en licence de droit de marteler «Abdou Salam Sall est indésirable au niveau de l’UCAD, il ne se préoccupe pas des problèmes qui secouent ce temple du savoir. Le dialogue est exclu dans son univers».
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