Le secrétaire général de l'AFP, Moustapha Niasse
«De la localité d’Oyo, je lance le présent appel aux démocrates de mon pays, et en particulier à tous les camarades et partenaires qui dirigent la Coalition Bennoo Siggil Senegaal pour que, tous ensemble, nous acceptions d’assumer, avec grandeur, avec panache, le sens et la portée du résultat populaire du scrutin des locales du 22 mars 2009 et l’espoir que les Sénégalais ont fait renaître, si clairement, en appelant de tous leurs vœux l’unité de l’opposition démocratique», a indiqué le leader des progressistes et futur maire de Keur Madiabel dans le département de Nioro à Kaolack.
Moustapha Niasse a estimé qu’«ayant gagné ensemble, l’obligation qui s’impose à nous est de gérer ensemble». Pour lui, «il s’agit d’une responsabilité induite par la nature et la signification du scrutin du 22 mars 2009».
Le chef de file de l’AFP a souligné que «par la concertation, le sens de la mesure et la capacité d’investir dans l’avenir, il nous incombe le devoir de nous dépasser, chacun en ce qui le concerne, et de tourner le dos, résolument, à des propensions, à des ambitions personnalisées, lesquelles ne peuvent trouver leur inspiration que dans une démarche à courte vue».
Et d’ajouter : «j’ai la conviction profonde que les leaders des partis politiques composant notre Coalition sont capables d’effectuer ce dépassement». C’est pourquoi, selon Moustapha Niasse, «la préservation, la protection et la consolidation de notre unité constituent un impératif catégorique».
Il a invité ses pairs leaders de partis et responsables de l’opposition à donner «dans les circonstances présentes, une nouvelle preuve de la conscience que nous avons prise et que nous entendons assumer, pour mériter la confiance que le peuple sénégalais vient de placer en nous». Et de poursuivre dans le même régisse : «ne donnons pas à nos adversaires l’occasion de railler sur des divergences qui ne sont, en fait, que de superficie. Les sicaires ne sont pas de notre bord. Les hommes pressés non plus. La patience et la persévérance dans nos entreprises, la capacité de nous élever au dessus des contingences artificielles, doivent être les sources inépuisables de notre engagement renouvelé au service de l’essentiel, c’est-à-dire contribuer, ensemble, au retour des valeurs cardinales qui sont celles de notre peuple et qui sont grandement menacées».
Moustapha Niasse a estimé qu’«ayant gagné ensemble, l’obligation qui s’impose à nous est de gérer ensemble». Pour lui, «il s’agit d’une responsabilité induite par la nature et la signification du scrutin du 22 mars 2009».
Le chef de file de l’AFP a souligné que «par la concertation, le sens de la mesure et la capacité d’investir dans l’avenir, il nous incombe le devoir de nous dépasser, chacun en ce qui le concerne, et de tourner le dos, résolument, à des propensions, à des ambitions personnalisées, lesquelles ne peuvent trouver leur inspiration que dans une démarche à courte vue».
Et d’ajouter : «j’ai la conviction profonde que les leaders des partis politiques composant notre Coalition sont capables d’effectuer ce dépassement». C’est pourquoi, selon Moustapha Niasse, «la préservation, la protection et la consolidation de notre unité constituent un impératif catégorique».
Il a invité ses pairs leaders de partis et responsables de l’opposition à donner «dans les circonstances présentes, une nouvelle preuve de la conscience que nous avons prise et que nous entendons assumer, pour mériter la confiance que le peuple sénégalais vient de placer en nous». Et de poursuivre dans le même régisse : «ne donnons pas à nos adversaires l’occasion de railler sur des divergences qui ne sont, en fait, que de superficie. Les sicaires ne sont pas de notre bord. Les hommes pressés non plus. La patience et la persévérance dans nos entreprises, la capacité de nous élever au dessus des contingences artificielles, doivent être les sources inépuisables de notre engagement renouvelé au service de l’essentiel, c’est-à-dire contribuer, ensemble, au retour des valeurs cardinales qui sont celles de notre peuple et qui sont grandement menacées».