L’université Cheikh Anta Diop (UCAD) de Dakar est en passe de devenir le temple de la prostitution clandestine au Sénégal. Deux réseaux épinglés par le service de sécurité du Centre des œuvres universitaires de Dakar (COUD) ont été arrêtés et placés sous mandat de dépôt. Après le quotidien «L’Observateur» le vendredi dernier, le journal ‘’Le Quotidien’’ est revenu ce lundi sur cette affaire. Le mode opératoire de ces filles est toute simple parce qu’utilisant le réseau des réseaux à savoir Internet.
L’enceinte de la Faculté de Droit de l’UCAD a servi pour certains réseaux de cadre de recrutement. C’est une bande de jeunes filles qui est chargée de recruter des personnes désireuses de faire des rencontres en ligne.
Elle tente d’appâter, d’intéresser des étudiantes en leur faisant miroiter un léger mieux dans leur situation financière et surtout avec à la clé la possibilité de convoler en justes noces avec «la personne de son rêve».
Nombre de ces filles fréquentent l’université de Dakar et les instituts privés d’enseignement supérieur. Comme le relève ‘’Le Quotidien’’, six personnes dans ce réseau sont de l’UCAD, de l’IAM (Institut Africain de Management), de l’IPE, de Sup-info, de ITECOM, de l’université privée du Sahel, entre autres. A ce groupe d’étudiantes vient s’ajouter une artiste et d’autres filles sans occupation particulière.
Ces jeunes filles collaborent le plus souvent avec des agences et des structures qui s’occupent de leur placement en ligne. Les agences Afrik-Annonces et Lov’Afrik sont les plus réputées et sont ainsi tombées dans les filets des limiers. L’enquête de la police a révélé que ces étudiantes recrutées par l’agence Lov’Afrik dont le siège se trouve à la cité Comico 2 pyrotechnique pour les faire basculer dans la prostitution ne seraient que des victimes. «Ces dernières ont affirmé devant les limiers qu’elles font ce travail en contrepartie d’une somme de 5 mille francs Cfa par jour alors que le garçon, recruté par l’agence Lov’Afrik avait comme rémunération 20 mille francs Cfa pour trois jours», a relaté le journaliste Mamadou Ticko Diatta.
Le président de la commission sociale de l’Amicale des étudiants de la Fac de Droit, qui a dénoncé ces étudiantes en confiait que ces dernières opéraient à l’aide de fiches d’inscription portant en entête la mention Lov’Afrik qu’elles remettaient aux candidates et d’un appareil photo pour les prises de vue.
Ce mercredi 18 mars, 11 étudiantes et leurs trois co-prévenus étrangers vont s’expliquer devant le juge des flagrants délits sur les raisons qui les ont poussés à mettre sur pied un réseau de prostitution opérant sur le campus pédagogique de l’UCAD. Ils vont répondre de deux chefs d’inculpation : «complicité de proxénétisme et incitation à la débauche». Des délits qui selon la presse ne sont une première sur cet espace universitaire.
L’enceinte de la Faculté de Droit de l’UCAD a servi pour certains réseaux de cadre de recrutement. C’est une bande de jeunes filles qui est chargée de recruter des personnes désireuses de faire des rencontres en ligne.
Elle tente d’appâter, d’intéresser des étudiantes en leur faisant miroiter un léger mieux dans leur situation financière et surtout avec à la clé la possibilité de convoler en justes noces avec «la personne de son rêve».
Nombre de ces filles fréquentent l’université de Dakar et les instituts privés d’enseignement supérieur. Comme le relève ‘’Le Quotidien’’, six personnes dans ce réseau sont de l’UCAD, de l’IAM (Institut Africain de Management), de l’IPE, de Sup-info, de ITECOM, de l’université privée du Sahel, entre autres. A ce groupe d’étudiantes vient s’ajouter une artiste et d’autres filles sans occupation particulière.
Ces jeunes filles collaborent le plus souvent avec des agences et des structures qui s’occupent de leur placement en ligne. Les agences Afrik-Annonces et Lov’Afrik sont les plus réputées et sont ainsi tombées dans les filets des limiers. L’enquête de la police a révélé que ces étudiantes recrutées par l’agence Lov’Afrik dont le siège se trouve à la cité Comico 2 pyrotechnique pour les faire basculer dans la prostitution ne seraient que des victimes. «Ces dernières ont affirmé devant les limiers qu’elles font ce travail en contrepartie d’une somme de 5 mille francs Cfa par jour alors que le garçon, recruté par l’agence Lov’Afrik avait comme rémunération 20 mille francs Cfa pour trois jours», a relaté le journaliste Mamadou Ticko Diatta.
Le président de la commission sociale de l’Amicale des étudiants de la Fac de Droit, qui a dénoncé ces étudiantes en confiait que ces dernières opéraient à l’aide de fiches d’inscription portant en entête la mention Lov’Afrik qu’elles remettaient aux candidates et d’un appareil photo pour les prises de vue.
Ce mercredi 18 mars, 11 étudiantes et leurs trois co-prévenus étrangers vont s’expliquer devant le juge des flagrants délits sur les raisons qui les ont poussés à mettre sur pied un réseau de prostitution opérant sur le campus pédagogique de l’UCAD. Ils vont répondre de deux chefs d’inculpation : «complicité de proxénétisme et incitation à la débauche». Des délits qui selon la presse ne sont une première sur cet espace universitaire.
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