El Hadji Diouf ne fera pas parti de la liste des «Lions» devant défendre les couleurs du Sénégal face à la Cote d’Ivoire, le 13 octobre prochain au stade Léopold Sédar Senghor pour le compte de match retour qualificatif de la Can 2013 en Afrique.
La confidence a été faite par un membre du staff technique de l’équipe nationale sous le couvert de l’anonymat. «Si Joseph Koto devrait sélectionner Diouf, il allait se sélectionner lui-même», ironise notre source, avant de s’empresser de préciser : «nous avons beaucoup de respect pour lui. Personne ne nie son talent, son amour pour le maillot et la nation, mais nous sommes dans une dynamique de reconstruction de notre football. Joseph Koto ne va même pas en parler». Mieux ajoute notre interlocuteur : «on s’étonne même que les gens parlent de Abdoulaye Diagne Faye dans les journaux».
«Après Bata, nous avons essayé et réussi de travailler avec un groupe pour les échéances futures. Ce n’est pas aujourd’hui que nous allons casser cette dynamique et manquer de respect aux jeunes talentueux qui sont là, souligne-t-il. D’ailleurs, un seul joueur n’a jamais pu gagner un match. Le football est un jeu collectif».
Interpellé sur les changements que Joseph Koto devraient apporter notamment à la défense et au milieu de terrain face, notre source s’est contentée de dire : «nous avons convoqué des joueurs capables de battre la Côte d’Ivoire et de qualifier le Sénégal». Sans plus de précisions.
Rappelons que depuis la défaite (4-2) des «Lions», le 8 septembre dernier au stade Félix Houphouët Boigny d’Abidjan face aux Eléphants, de fortes pressions s’exercent sur l’encadrement technique pour faire revenir El Hadji Diouf en sélection.
Sa levée de sanction par la Fédération sénégalaise de football a davantage contribué à la confusion. Les sorties de Me Augustin Senghor dans la presse pour expliquer que cette décision n’a absolument rien à avoir avec la future convocation de Diouf pour le match contre la Côte d’Ivoire n’ont pas fait descendre l’adrénaline. La polémique continue à enfler. Les commentaires vont bon train.
Seulement, les thuriféraires et autres lobbies de Diouf devraient prendre leur mal en patience.
Avec Sudonline
La confidence a été faite par un membre du staff technique de l’équipe nationale sous le couvert de l’anonymat. «Si Joseph Koto devrait sélectionner Diouf, il allait se sélectionner lui-même», ironise notre source, avant de s’empresser de préciser : «nous avons beaucoup de respect pour lui. Personne ne nie son talent, son amour pour le maillot et la nation, mais nous sommes dans une dynamique de reconstruction de notre football. Joseph Koto ne va même pas en parler». Mieux ajoute notre interlocuteur : «on s’étonne même que les gens parlent de Abdoulaye Diagne Faye dans les journaux».
«Après Bata, nous avons essayé et réussi de travailler avec un groupe pour les échéances futures. Ce n’est pas aujourd’hui que nous allons casser cette dynamique et manquer de respect aux jeunes talentueux qui sont là, souligne-t-il. D’ailleurs, un seul joueur n’a jamais pu gagner un match. Le football est un jeu collectif».
Interpellé sur les changements que Joseph Koto devraient apporter notamment à la défense et au milieu de terrain face, notre source s’est contentée de dire : «nous avons convoqué des joueurs capables de battre la Côte d’Ivoire et de qualifier le Sénégal». Sans plus de précisions.
Rappelons que depuis la défaite (4-2) des «Lions», le 8 septembre dernier au stade Félix Houphouët Boigny d’Abidjan face aux Eléphants, de fortes pressions s’exercent sur l’encadrement technique pour faire revenir El Hadji Diouf en sélection.
Sa levée de sanction par la Fédération sénégalaise de football a davantage contribué à la confusion. Les sorties de Me Augustin Senghor dans la presse pour expliquer que cette décision n’a absolument rien à avoir avec la future convocation de Diouf pour le match contre la Côte d’Ivoire n’ont pas fait descendre l’adrénaline. La polémique continue à enfler. Les commentaires vont bon train.
Seulement, les thuriféraires et autres lobbies de Diouf devraient prendre leur mal en patience.
Avec Sudonline