Des conférences, des plateaux au niveau des média, des consultations médicales, des prières et actes de dévotion, des expositions, des panels scientifiques et des ziara: Telles sont les différents activités qui ont sanctionné cette première édition de la journée d’hommage à Serigne Mansour Sy « Borom Daara ji ». Bien que malade, le porte-parole de la famille tidjane, Serigne Abdoul Aziz Sy « Al Amine »nn’a pas voulu rater l’évènement pour rien au monde. Un fait qui s’explique selon lui par sa volonté d’éviter les commentaires émanant des mauvaises langues à propos de son absence.
« J’étais malade et je reviens d’une consultation médicale à Paris que j’ai écourtée. Je ne veux pas rater cet hommage à cause des mauvaises langues qui sont capables de tout dire sur mon absence », confie-t-il avant de marteler : « Si je rate cet hommage, beaucoup de personnes iront en enfer. Le Sénégalais aimnte dire des contres vérités pour vivre. Et si je leur offre cette chance, ils sont capable de me mettre en mal avec la famille de Serigne Mansour Sy ».
Rejetant toute idée de conflit au sein de la famille, Serigne Abdoul Aziz Sy « Al Amine » de recommander aux jeunes marabouts de la lignée de se consacrer à la recherche du savoir. Car précise-t-il dans les colonnes du journal "le populaire", « tout ce que « Borom Daara ji » a eu, il l’a obtenu dignement ».
« J’étais malade et je reviens d’une consultation médicale à Paris que j’ai écourtée. Je ne veux pas rater cet hommage à cause des mauvaises langues qui sont capables de tout dire sur mon absence », confie-t-il avant de marteler : « Si je rate cet hommage, beaucoup de personnes iront en enfer. Le Sénégalais aimnte dire des contres vérités pour vivre. Et si je leur offre cette chance, ils sont capable de me mettre en mal avec la famille de Serigne Mansour Sy ».
Rejetant toute idée de conflit au sein de la famille, Serigne Abdoul Aziz Sy « Al Amine » de recommander aux jeunes marabouts de la lignée de se consacrer à la recherche du savoir. Car précise-t-il dans les colonnes du journal "le populaire", « tout ce que « Borom Daara ji » a eu, il l’a obtenu dignement ».