Selon Ousmane Sonko, membre de la Conférence des leaders de la coalition Yewwi Askan Wi "tous les Sénégalais ont peur de ce recul démocratique qui sévit le Sénégal". Les dernières décisions rendues par les sept "sages" du Conseil constitutionnel, qu'ils qualifient d'être au solde du Président Macky Sall "en attestent la preuve. "
L'opposant prend témoin à cet effet l'opinion que si leur rassemblement de demain ne se tient pas, que les Sénégalais sachent que "toutes les autres manifestations dans les 18 prochains mois n'auront pas lieu dans ce pays", a-t-il martelé ce mardi face à la presse.
Accusant le Conseil constitutionnel de bénéficier des "largesses de Macky Sall", en rendant ces décisions, cette même cour a commis une haute trahison. Ainsi pour appeler les magistrats à mesurer la teneur de leur acte, l'opposant rappelle cette assertion du constitutionnaliste Ngouda Mboup je cite : "le jour où Saddam Hussein a été exécuté il a été avec un magistrat."
Ousmane Sonko fait savoir aux magistrats "qu'ils n'ont plus son respect". Parce qu'il ne peut pas accepter qu'à chaque fois qu'il y a "une situation d'instabilité dans un pays, les magistrats soient en première ligne."
Serigne Bassirou Gueye est préparé pour valider la forfaiture de 2024
Le leader de Pastef met en garde le Conseil constitutionnel et promet aux magistrats : "qu'ils vont rendre compte de leurs agissements tôt au tord. Moins de dix personnes à savoir les sept sage, la DGE, le ministre de l'Intérieur ne peuvent pas tenir tout un pays en otage. Ils rendront compte de cette violation flagrante de la loi. Ils ne sont plus des fonctionnaires avec tous les avantages qu'ils bénéficient. Et voilà qu'ils sont prêts à tout", a t-il brandi précisant que c'est une menace mais une promesse.
Ousmane Sonko de révéler le projet de Macky d'une possible validation de sa troisième candidature pour la présidentielle de 2024. " J'ai entendu que le le président du Conseil constitutionnel Pape Omar Sakho va aller en retraite dans quelques semaines après son forfait. Maintenant, c'est le procureur Serigne Bassirou Gueye qui sera promu a ce poste. Et il sera chargé du projet de valider la troisième candidature de Macky Sall pour 2024".
L'opposant prend témoin à cet effet l'opinion que si leur rassemblement de demain ne se tient pas, que les Sénégalais sachent que "toutes les autres manifestations dans les 18 prochains mois n'auront pas lieu dans ce pays", a-t-il martelé ce mardi face à la presse.
Accusant le Conseil constitutionnel de bénéficier des "largesses de Macky Sall", en rendant ces décisions, cette même cour a commis une haute trahison. Ainsi pour appeler les magistrats à mesurer la teneur de leur acte, l'opposant rappelle cette assertion du constitutionnaliste Ngouda Mboup je cite : "le jour où Saddam Hussein a été exécuté il a été avec un magistrat."
Ousmane Sonko fait savoir aux magistrats "qu'ils n'ont plus son respect". Parce qu'il ne peut pas accepter qu'à chaque fois qu'il y a "une situation d'instabilité dans un pays, les magistrats soient en première ligne."
Serigne Bassirou Gueye est préparé pour valider la forfaiture de 2024
Le leader de Pastef met en garde le Conseil constitutionnel et promet aux magistrats : "qu'ils vont rendre compte de leurs agissements tôt au tord. Moins de dix personnes à savoir les sept sage, la DGE, le ministre de l'Intérieur ne peuvent pas tenir tout un pays en otage. Ils rendront compte de cette violation flagrante de la loi. Ils ne sont plus des fonctionnaires avec tous les avantages qu'ils bénéficient. Et voilà qu'ils sont prêts à tout", a t-il brandi précisant que c'est une menace mais une promesse.
Ousmane Sonko de révéler le projet de Macky d'une possible validation de sa troisième candidature pour la présidentielle de 2024. " J'ai entendu que le le président du Conseil constitutionnel Pape Omar Sakho va aller en retraite dans quelques semaines après son forfait. Maintenant, c'est le procureur Serigne Bassirou Gueye qui sera promu a ce poste. Et il sera chargé du projet de valider la troisième candidature de Macky Sall pour 2024".
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