C’est sous des applaudissements nourris que le chef de file des « thiantacoune », drapé d’un grand boubou blanc et d’une écharpe autour du cou, a été accueilli sous la grande tente dressée pour les besoins du Gamou organisé près de son domicile à Mermoz.
Ces disciples étaient bien heureux de retrouver leur marabout après toutes les informations qui ont circulé sur sa santé suite à sa longue absence de la scène et bien sûr le mutisme observé par ses plus proches collaborateurs.
Son apparence, apparemment, très diminué à cause de la maladie n’a rien rongé de ses habitudes. Entouré par ses épouses le Cheikh a encore enflammé ses disciples.
Mieux, Serigne Béthio les a rassurés en leur disant qu’il est guéri et qu’il est de retour.
Pour lui, nous sommes des humains et c’est bien normal que nous soyons malades, parfois.
Toutefois, il n’a pas pu rester aussi longtemps qu’il le faisait à son habitude, état de santé défaillant oblige. C’est pourquoi, il a dit à ses disciples qu’il ne pourra pas durer même s'il est de tout cœur avec eux.
Il a profité, d’ailleurs, de ce moment privilégié pour remercier ses épouses et ses disciples pour leur soutien pendant son absence (il était en Europe pendant 4 mois pour se soigner). Ces mots de remerciements ont suivi son départ des lieux vers 3h 30 mn, laissant les disciples continuer les prières et la fête.
Par ailleurs, dans cette ambiance de Magal, à côté de son domicile, sis à Mermoz, des foules compactes ont répondu à l’appel. Selon un des coordonnateurs, une bonne partie des quatre cent soixante «Dahras» du Cheikh qui existent sur toute l’étendue du territoire national sont présents, à l’exception de ceux de la région du Sud, à qui il a été demandé de célébrer le Maouloud dans leurs localités respectives, à cause de la longue distance qui les sépare de Dakar.
Le chef a, encore, assuré le côté festif. C’est ainsi qu’une centaine de bœufs, trois chameaux ont été tués pour la fête ainsi que seize mille baguettes de pain distribuées selon les organisateurs. Ainsi, des plats très copieux ont été préparés et distribués aux différents « Dahras » qui ont dressé, pour l’occasion, chacune, sa tente.
Comme il est impossible de faire des omelettes sans casser des œufs, la forte affluence a occasionné des embouteillages monstres.
Ces disciples étaient bien heureux de retrouver leur marabout après toutes les informations qui ont circulé sur sa santé suite à sa longue absence de la scène et bien sûr le mutisme observé par ses plus proches collaborateurs.
Son apparence, apparemment, très diminué à cause de la maladie n’a rien rongé de ses habitudes. Entouré par ses épouses le Cheikh a encore enflammé ses disciples.
Mieux, Serigne Béthio les a rassurés en leur disant qu’il est guéri et qu’il est de retour.
Pour lui, nous sommes des humains et c’est bien normal que nous soyons malades, parfois.
Toutefois, il n’a pas pu rester aussi longtemps qu’il le faisait à son habitude, état de santé défaillant oblige. C’est pourquoi, il a dit à ses disciples qu’il ne pourra pas durer même s'il est de tout cœur avec eux.
Il a profité, d’ailleurs, de ce moment privilégié pour remercier ses épouses et ses disciples pour leur soutien pendant son absence (il était en Europe pendant 4 mois pour se soigner). Ces mots de remerciements ont suivi son départ des lieux vers 3h 30 mn, laissant les disciples continuer les prières et la fête.
Par ailleurs, dans cette ambiance de Magal, à côté de son domicile, sis à Mermoz, des foules compactes ont répondu à l’appel. Selon un des coordonnateurs, une bonne partie des quatre cent soixante «Dahras» du Cheikh qui existent sur toute l’étendue du territoire national sont présents, à l’exception de ceux de la région du Sud, à qui il a été demandé de célébrer le Maouloud dans leurs localités respectives, à cause de la longue distance qui les sépare de Dakar.
Le chef a, encore, assuré le côté festif. C’est ainsi qu’une centaine de bœufs, trois chameaux ont été tués pour la fête ainsi que seize mille baguettes de pain distribuées selon les organisateurs. Ainsi, des plats très copieux ont été préparés et distribués aux différents « Dahras » qui ont dressé, pour l’occasion, chacune, sa tente.
Comme il est impossible de faire des omelettes sans casser des œufs, la forte affluence a occasionné des embouteillages monstres.