Le maire de la commune de Pire Gourey, Serigne Mboup interpelé sur la question du référendum du 20 mars dernier, pense que : «ce qui c’est passé dans ces consultations citoyennes passées, c’est qu’il y a eu un peu le mensonge et la délation. C’est un peu de la désinformation. Les partisans du camp du « Non » de notre localité ont battu campagne en disant à la population l’inverse des 15 points de la réforme constitutionnelle. Il leur a été dit que voter « Oui », c’est libéraliser le mariage homosexuel ». C’est la raison pour laquelle, beaucoup de personnes se sont abstenues même si elles sont avec nous ».
Pour Serigne Mboup, « c'est ce qui fait que le taux a été très bas et c’est ce qui fait qu’on a gagné avec 300 ou 400 voix (360, exactement) comme un peut partout », justifie le président de la SAR. Sous ses yeux, le plus important ce que le « Oui » l’a emporté de façon claire, nette et précise ».
Par contre le maire de Pire juge incompréhensible et même inacceptable, ou irrespectueux de voir les partisans du « Non » contester les résultats de ce référendum qu’ils jugent illégitimes. Certains sont même allés jusqu’à demander la démission du ministre de l’Intérieur et celle du président du CENA. Il a rappelé que : « Le système de gestion des élections au Sénégal est un système fiable et, toute la classe politique doit s’en féliciter ».
M. Mboup a aussi souligné que les contours d’un dialogue politique après la guerre du « Oui » et du « Non » sont dessinés. « Pour moi, il y a déjà dialogue politique. Le dialogue politique au niveau politique est là. L’assemblée nationale est le lieu par excellence, dans une grande démocratie de l’expression des pluralités et du dialogue politique. Elle est l’espace d’expression politique la plus claire. En plus, la plupart de ceux qui parlent de dialogue politique quand on les convoque, ils ne viennent pas. D’autres sont dans une radicalisation qui ne se justifie pas. Quand on est démocrate, quand on a été au pouvoir, quand la plus haute autorité du pays vous appelle, vous devez répondre».
Parlant des 36% de la SAR, inscrites dans une logique de rétribution de la part de l’Etat, le maire, dans les colonnes du journal «Libération», a signifié que : « La SAR est redevenue une société rentable et stable ».
Sur le bras de fer entre les syndicats des enseignants et l’Etat du Sénégal, le maire de la commune de Pire Gourey, milite pour que la sérénité revienne. « Je pense qu’il est important, au-delà des revendications légitimes sur l’amélioration des conditions de travail, sur la préservation de l’outil de travail, sur les profils académiques, que la sérénité revienne. Les enseignants devraient reprendre les cours et mettre avec le Gouvernent une commission de suivi de la mis en œuvre effective de ces décisions. La volonté politique est montrée.».
Selon lui pour une résolution du conflit entre syndicats et Etat, toutes les classes de la société sénégalaise devrait s'impliquer : «Les syndicats doivent revendiquer mais, ils doivent être dans des dispositions positives et responsables. Puisque le Gouvernement, les parents d’élèves et les étudiants ont sonné l’alerte. On ne peut pas continuer dans une tension permanente ».
Pour Serigne Mboup, « c'est ce qui fait que le taux a été très bas et c’est ce qui fait qu’on a gagné avec 300 ou 400 voix (360, exactement) comme un peut partout », justifie le président de la SAR. Sous ses yeux, le plus important ce que le « Oui » l’a emporté de façon claire, nette et précise ».
Par contre le maire de Pire juge incompréhensible et même inacceptable, ou irrespectueux de voir les partisans du « Non » contester les résultats de ce référendum qu’ils jugent illégitimes. Certains sont même allés jusqu’à demander la démission du ministre de l’Intérieur et celle du président du CENA. Il a rappelé que : « Le système de gestion des élections au Sénégal est un système fiable et, toute la classe politique doit s’en féliciter ».
M. Mboup a aussi souligné que les contours d’un dialogue politique après la guerre du « Oui » et du « Non » sont dessinés. « Pour moi, il y a déjà dialogue politique. Le dialogue politique au niveau politique est là. L’assemblée nationale est le lieu par excellence, dans une grande démocratie de l’expression des pluralités et du dialogue politique. Elle est l’espace d’expression politique la plus claire. En plus, la plupart de ceux qui parlent de dialogue politique quand on les convoque, ils ne viennent pas. D’autres sont dans une radicalisation qui ne se justifie pas. Quand on est démocrate, quand on a été au pouvoir, quand la plus haute autorité du pays vous appelle, vous devez répondre».
Parlant des 36% de la SAR, inscrites dans une logique de rétribution de la part de l’Etat, le maire, dans les colonnes du journal «Libération», a signifié que : « La SAR est redevenue une société rentable et stable ».
Sur le bras de fer entre les syndicats des enseignants et l’Etat du Sénégal, le maire de la commune de Pire Gourey, milite pour que la sérénité revienne. « Je pense qu’il est important, au-delà des revendications légitimes sur l’amélioration des conditions de travail, sur la préservation de l’outil de travail, sur les profils académiques, que la sérénité revienne. Les enseignants devraient reprendre les cours et mettre avec le Gouvernent une commission de suivi de la mis en œuvre effective de ces décisions. La volonté politique est montrée.».
Selon lui pour une résolution du conflit entre syndicats et Etat, toutes les classes de la société sénégalaise devrait s'impliquer : «Les syndicats doivent revendiquer mais, ils doivent être dans des dispositions positives et responsables. Puisque le Gouvernement, les parents d’élèves et les étudiants ont sonné l’alerte. On ne peut pas continuer dans une tension permanente ».
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