Le psychologue, Serigne Mor Mbaye qui se dit très préoccupé par la situation du Sénégal appelle une résistance pour sauver le pays. «Face à une telle violence, je pense qu’il faut organiser une résistance pour préserver ce pays et ce peuple parce qu’on ne sait pas où ça va (…). Nous n’avons aucun intérêt à laisser pourrir la situation», a-t-il laissé entendre à l’émission Remue-Ménage de ce dimanche même s’il sait qu’il y a un camp qui n’est pas d’accord.
«(…) Les forces parasitaires dont celles qui nous dirigent n’ont aucun intérêt à une stabilité ; sinon, elles ne l’auraient pas provoquée», a-t-il soutenu. Selon lui, nous sommes dans un climat instable (grèves, suicides collectifs, immolations par le feu). «Nous sommes dans un climat de violence et de tension perpétuelles. Il n’y a pas intérêt parce que nous voulons construire notre pays et lui donner un autre sens, une autre direction et il y a des gens que cela n’intéresse guère», a expliqué M. Mbaye.
Selon lui, il faut organiser une résistance et veiller en même temps aux repères. «(…). Il faut à la fois organiser une résistance et faire en sorte qu’il n’y ait pas une explosion, qu’on ne perde pas nos repères», a-t-il prié.
Il considère que nos repères c’est «l’aspiration au changement de notre population et l’accompagnement de cet aspiration au changement en faisant tout, cette fois-ci, pour se débarrasser de ces forces parasitaires qui ne sont guère intéressées au changement (…).
«(…) Les forces parasitaires dont celles qui nous dirigent n’ont aucun intérêt à une stabilité ; sinon, elles ne l’auraient pas provoquée», a-t-il soutenu. Selon lui, nous sommes dans un climat instable (grèves, suicides collectifs, immolations par le feu). «Nous sommes dans un climat de violence et de tension perpétuelles. Il n’y a pas intérêt parce que nous voulons construire notre pays et lui donner un autre sens, une autre direction et il y a des gens que cela n’intéresse guère», a expliqué M. Mbaye.
Selon lui, il faut organiser une résistance et veiller en même temps aux repères. «(…). Il faut à la fois organiser une résistance et faire en sorte qu’il n’y ait pas une explosion, qu’on ne perde pas nos repères», a-t-il prié.
Il considère que nos repères c’est «l’aspiration au changement de notre population et l’accompagnement de cet aspiration au changement en faisant tout, cette fois-ci, pour se débarrasser de ces forces parasitaires qui ne sont guère intéressées au changement (…).