Journaliste-chroniqueur, Seydina Seck est aussi engagé quand il s’agit de défendre la cause des populations, particulièrement des Sénégalais de la diaspora. Dans l’entretien accordé à Xibaaru, le membre du Mouvement indépendant « Défar Sénégal », dirigé par Mamadou Sy Tounkara, ne compte pas jouer les seconds rôles à l’Assemblée nationale une fois élu. Il est revenu sur les nombreux problèmes auxquels sont confrontés nos compatriotes qui vivent à l’étranger, notamment les meurtres dont ils sont victimes, les couacs dans les consulats, le clientélisme politique quand il s’agit des nominations, etc.
Pour lui, la 12e législature a trahi les espoirs de rupture du peuple sénégalais. Beaucoup de promesses n’ont pas été tenues et cette assemblée, pouvoir comme opposition, n’a pas été à la hauteur. D’où son engagement à vouloir peser de sa voix pour instaurer les ruptures nécessaires et enfin rompre avec les pratiques actuelles à l’Assemblée. Aussi, estime-t-il que l’heure de gloire des partis et mouvements indépendants et arrivée, puisque les hommes politiques ont échoué dans leur mission.
M. Seck s’est également exprimé sur la pléthore de coalitions notées dans l’arène politique à la veille des Législatives pour dire que l’opposition, notamment les leaders de Mankoo Taxawu Senegaal, jouaient la comédie lorsqu’ils parlaient d’unité. La preuve, moins de 72 heures après la fissure, tout ce beau monde a pu déposer sa liste dans les délais. Mais, dira-t-il, ça craint grave pour l’opposition qui risque d’y laisser des plumes.
Le pouvoir en a également pris pour son grade. Selon Seydina Seck, même s’il reconnait que le pouvoir est capable de rafler des voix, il estime qu’il faut s’attendre à des achats de conscience. Toutefois, il est convaincu qu’au final ce sont les indépendants qui auront le dernier mot.
Pour lui, la 12e législature a trahi les espoirs de rupture du peuple sénégalais. Beaucoup de promesses n’ont pas été tenues et cette assemblée, pouvoir comme opposition, n’a pas été à la hauteur. D’où son engagement à vouloir peser de sa voix pour instaurer les ruptures nécessaires et enfin rompre avec les pratiques actuelles à l’Assemblée. Aussi, estime-t-il que l’heure de gloire des partis et mouvements indépendants et arrivée, puisque les hommes politiques ont échoué dans leur mission.
M. Seck s’est également exprimé sur la pléthore de coalitions notées dans l’arène politique à la veille des Législatives pour dire que l’opposition, notamment les leaders de Mankoo Taxawu Senegaal, jouaient la comédie lorsqu’ils parlaient d’unité. La preuve, moins de 72 heures après la fissure, tout ce beau monde a pu déposer sa liste dans les délais. Mais, dira-t-il, ça craint grave pour l’opposition qui risque d’y laisser des plumes.
Le pouvoir en a également pris pour son grade. Selon Seydina Seck, même s’il reconnait que le pouvoir est capable de rafler des voix, il estime qu’il faut s’attendre à des achats de conscience. Toutefois, il est convaincu qu’au final ce sont les indépendants qui auront le dernier mot.
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