C’est une Jeunesse pour la démocratie et le socialisme (JDS) très en verve qui a accusé publiquement Me Wade. Pour les jeunes camarades de Ousmane Tanor Dieng, Me Abdoulaye Wade est responsable de l’incendie criminel de Thiès. « Car la vérité c’est que c’est lui qui a encouragé la violence dans les rangs de son parti et organise l’impunité dans le pays ».
C’est pourquoi la JDS estime qu'il ne sert à rien de porter plainte mais avertit. « Si Wade n’arrête pas ses énergumènes, nous brûlerons son monument de la renaissance » souligne d’un ton ferme le coordonnateur de la jeunesse pour la démocratie et le socialisme.
Pour Babacar Diop, l’intimidation ne passera pas. « Nous prendrons les armes pour nous défendre et défendre notre liberté » clame-t-il.
Les jeunes socialistes estiment que « si l’Etat est devenu inexistant, si le pouvoir judiciaire est devenu irresponsable, si le pouvoir politique est entre les mains de scélérats criminels, nous devons prendre nos responsabilités ».
C’est dans cette optique que les initiateurs du meeting de Thiès pensent qu’on ne peut plus confier notre sécurité à l’Etat. « Nous ne pouvons plus confier notre sécurité à un Etat irresponsable infesté de criminels » se convainc le jeune socialiste avant de rappeler des cas qui sont restés jusque-là impunis ; c’est entre autre l’agression de Kara et Campbell Dieng, les saccages des journaux L’As et 24H/Chrono…
C’est pourquoi la JDS estime qu'il ne sert à rien de porter plainte mais avertit. « Si Wade n’arrête pas ses énergumènes, nous brûlerons son monument de la renaissance » souligne d’un ton ferme le coordonnateur de la jeunesse pour la démocratie et le socialisme.
Pour Babacar Diop, l’intimidation ne passera pas. « Nous prendrons les armes pour nous défendre et défendre notre liberté » clame-t-il.
Les jeunes socialistes estiment que « si l’Etat est devenu inexistant, si le pouvoir judiciaire est devenu irresponsable, si le pouvoir politique est entre les mains de scélérats criminels, nous devons prendre nos responsabilités ».
C’est dans cette optique que les initiateurs du meeting de Thiès pensent qu’on ne peut plus confier notre sécurité à l’Etat. « Nous ne pouvons plus confier notre sécurité à un Etat irresponsable infesté de criminels » se convainc le jeune socialiste avant de rappeler des cas qui sont restés jusque-là impunis ; c’est entre autre l’agression de Kara et Campbell Dieng, les saccages des journaux L’As et 24H/Chrono…