Avec un taux de prévalence de 0,7% légèrement inférieur à celui de la population générale (0,74%), le colonel-pharmacien de l’hôpital de Ouakam explique que cette situation est due à une meilleure prise en charge de ces personnes considérées comme vulnérables du fait de leur mobilité. «Au Sénégal, le taux de prévalence est bas au niveau de la population en général. Mais, le militaire comme le gendarme demeure une cible vulnérable de par leur mobilité, ils sont souvent projetés dans des pays hors du Sénégal où la prévalence est très élevée et où ils vont séjourner pendant une année", souligne-t-il.
C’est dans la partie méridionale du pays précisément à Ziguinchor où on constate que les prévalences au niveau national sont les plus élevées. Il y a de facto un fort lien entre la sécurité, la capacité opérationnelle et le VIH. L’objectif et la mission de ce programme sont le maintien de la capacité opérationnelle des forces avec une prévalence qui doit être inférieur à 2% », explique le Colonel Faye.
C’est dans la partie méridionale du pays précisément à Ziguinchor où on constate que les prévalences au niveau national sont les plus élevées. Il y a de facto un fort lien entre la sécurité, la capacité opérationnelle et le VIH. L’objectif et la mission de ce programme sont le maintien de la capacité opérationnelle des forces avec une prévalence qui doit être inférieur à 2% », explique le Colonel Faye.