L’équation de l’insertion des étudiants et jeunes diplômés peine toujours à être résolue au Sénégal. La CEJED qui s’est chargée de la lourde tâche de renverser la tendance priorise dans ses préoccupations l’occupation des étudiants qu’elle exhorte à se prendre en charge en s’imprégnant du processus de gestion. En conférence de presse hier jeudi, le président de la CEJED, Mohamed Coumba Diouf établit que l’un des premiers objectifs de la Convergence est de « pallier la défaillance du système LMD » dont la plupart des étudiants, constate-t-il, ignorent le sens. Toutefois, averti que « l’Etat ne peut pas être employeur de tous les demandeurs », le président de ce réseau des étudiants « soucieux de leur avenir » suggère ainsi au gouvernement de « créer les conditions permettant aux étudiants de créer un emploi ».
Par ailleurs, loin d’une volonté de s’opposer au gouvernement, la CEJED se fixe même pour mission d’ « accompagner l’Etat dans le processus de gestion », dénote son chargé de communication, Bruno Adolphe Djiba. « Nous voulons conjuguer nos efforts avec les autorités et travailler pour faire comprendre aux étudiants ce qu’est le système LMD imposé par l’Etat », mentionne M. Djiba qui ne manque pourtant pas de prêcher l’Etat d’ « accepter ses faiblesses et faire confiance à l’expertise locale ». Par souci de mettre à exécution la « rupture » tant prônée afin de « créer un Sénégal nouveau », la CEJED qui a mis sur pied des pôles de spécialisation au sein de son réseau plaide pour le changement des formes de recrutement au Sénégal.
Par ailleurs, loin d’une volonté de s’opposer au gouvernement, la CEJED se fixe même pour mission d’ « accompagner l’Etat dans le processus de gestion », dénote son chargé de communication, Bruno Adolphe Djiba. « Nous voulons conjuguer nos efforts avec les autorités et travailler pour faire comprendre aux étudiants ce qu’est le système LMD imposé par l’Etat », mentionne M. Djiba qui ne manque pourtant pas de prêcher l’Etat d’ « accepter ses faiblesses et faire confiance à l’expertise locale ». Par souci de mettre à exécution la « rupture » tant prônée afin de « créer un Sénégal nouveau », la CEJED qui a mis sur pied des pôles de spécialisation au sein de son réseau plaide pour le changement des formes de recrutement au Sénégal.