La mort des sept soldats de l’armée nationale suite à une attaque rebelle relance la nécessité de rouvrir les négociations de paix. Le secrétaire général du Mouvement des Forces Démocratiques de la Casamance (MFDC), Jean Marie François Biagui persiste sur son appel. «Cette paix est tant attendue par tous les Peuples du Sénégal et de la Sous-Région, et au premier chef par l’armée nationale et les combattants du MFDC. Mais, faut-il insister encore, une paix qu’il ne faut plus bricoler ; qu’il faut certes hâter mais guère précipiter ni (re)construire avec les sables mouvants de l’irréalisme, car la paix avant l’heure ça n’est jamais la paix», a-t-il déclaré.
De Villeurbanne où il se trouve, Jean Marie François Biagui a, à ce propos, indiqué : «j’en suis d’autant plus désolé que sont restés vains tous mes appels (qui ne se comptent plus) à plus de responsabilité et de courage politique, plus de respect et de considération mutuelle, plus d’honnêteté intellectuelle, plus d’éthique et de morale, plus de rigueur et de professionnalisme ; et donc moins d’amateurisme et de légèreté, moins de mensonge et de tortuosité, dans la gestion concertée du processus de paix en Casamance».
Au lieu de cela, a ajouté le secrétaire général du MFDC, le président Wade et son gouvernement, pour leur part et pour toute réponse à mes multiples cris de cœurs, ont préféré opter pour le pilotage unilatéral à vue dudit processus de paix, doublé de pratiques espiègles.
De Villeurbanne où il se trouve, Jean Marie François Biagui a, à ce propos, indiqué : «j’en suis d’autant plus désolé que sont restés vains tous mes appels (qui ne se comptent plus) à plus de responsabilité et de courage politique, plus de respect et de considération mutuelle, plus d’honnêteté intellectuelle, plus d’éthique et de morale, plus de rigueur et de professionnalisme ; et donc moins d’amateurisme et de légèreté, moins de mensonge et de tortuosité, dans la gestion concertée du processus de paix en Casamance».
Au lieu de cela, a ajouté le secrétaire général du MFDC, le président Wade et son gouvernement, pour leur part et pour toute réponse à mes multiples cris de cœurs, ont préféré opter pour le pilotage unilatéral à vue dudit processus de paix, doublé de pratiques espiègles.
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