Des insurgés islamistes dans le quartier du palais présidentiel de Mogadiscio, le 14 mai 2009. (Photo: Reuters)
Une semaine de combats et le bilan est déjà effroyable. L'attaque lancée par les insurgés islamistes le 7 mai dernier fut l'une des plus violentes depuis les grandes batailles d'avril 2007.
Les insurgés et les forces gouvernementale disposent d'une puissance de feu de plus en plus impressionnante. Armes lourdes et canons sont réapparus dans les rues dévastées de la capitale.
L'Amisom a redéployé son dispositif
Si un calme précaire règne depuis jeudi à Mogadiscio, la population redoute de nouveaux affrontements et continue de fuir les quartiers exposés aux combats. Les insurgés qui rassemblent la milice shebab et un groupe baptisé Izbul al-Islam sont toujours déployés dans plusieurs quartiers de la ville et selon l'Agence France presse, ils se préparent à une nouvelle offensive.
Du côté des forces gouvernementales, là aussi on se réorganise. Le gouvernement a remplacé le commandant en chef de l'armée sans explication. C'est désormais le commandant en second de la police qui dirigera les opérations militaires dans la capitale.
Du côté de l'Amison, la force africaine de paix, on garde son calme. Le porte-parole assure que les quatre mille soldats burundais et ougandais sont en mesure de tenir la capitale. L'Amisom, qui dispose elle aussi d'artillerie et de chars, a redéployé son dispositif dans la capitale, selon des témoignages recueillis par les médias somaliens.
Source: RFI
Les insurgés et les forces gouvernementale disposent d'une puissance de feu de plus en plus impressionnante. Armes lourdes et canons sont réapparus dans les rues dévastées de la capitale.
L'Amisom a redéployé son dispositif
Si un calme précaire règne depuis jeudi à Mogadiscio, la population redoute de nouveaux affrontements et continue de fuir les quartiers exposés aux combats. Les insurgés qui rassemblent la milice shebab et un groupe baptisé Izbul al-Islam sont toujours déployés dans plusieurs quartiers de la ville et selon l'Agence France presse, ils se préparent à une nouvelle offensive.
Du côté des forces gouvernementales, là aussi on se réorganise. Le gouvernement a remplacé le commandant en chef de l'armée sans explication. C'est désormais le commandant en second de la police qui dirigera les opérations militaires dans la capitale.
Du côté de l'Amison, la force africaine de paix, on garde son calme. Le porte-parole assure que les quatre mille soldats burundais et ougandais sont en mesure de tenir la capitale. L'Amisom, qui dispose elle aussi d'artillerie et de chars, a redéployé son dispositif dans la capitale, selon des témoignages recueillis par les médias somaliens.
Source: RFI