Les deux employées de MSF avaient été enlevées alors qu’elles se rendaient dans un camp du complexe de Dadaab, au nord-est du Kenya.
L’organisation n’a pas donné de détails sur les conditions de leur libération, attendant que les deux femmes soient à nouveau réunies avec leur famille en Espagne, où une conférence de presse aura lieu vendredi 19 juillet à la mi-journée à Madrid.
Les deux employées espagnoles avaient été enlevées le 13 octobre 2011 à Dadaab, un camp qui accueille un demi million de réfugiés somaliens non loin de la frontière entre le Kenya et la Somalie. Elles circulaient en voiture vers 13 heures dans le camp d’Ifo, lorsque des hommes armés ont tiré sur le chauffeur et se sont emparés du véhicule pour fuir vers la Somalie.
A l'époque, cet enlèvement avait succédé à celui de deux touristes, une Britannique puis une Française, Marie Dedieu, enlevées par des pirates au large de la côte touristique kényane. Trois jours après, l’armée du Kenya avait alors donné son feu vert pour intervenir militairement en Somalie, prenant prétexte de ces kidnappings d’expatriés à répétition sur son territoire pour « sécuriser le territoire ».
Le sort des deux Espagnoles avait fait l'objet de désinformations. Mais selon plusieurs sources concordantes, elles ont passé la majeure partie de leur détention dans la zone sud du pays.
Source : Rfi.fr
Les deux employées espagnoles avaient été enlevées le 13 octobre 2011 à Dadaab, un camp qui accueille un demi million de réfugiés somaliens non loin de la frontière entre le Kenya et la Somalie. Elles circulaient en voiture vers 13 heures dans le camp d’Ifo, lorsque des hommes armés ont tiré sur le chauffeur et se sont emparés du véhicule pour fuir vers la Somalie.
A l'époque, cet enlèvement avait succédé à celui de deux touristes, une Britannique puis une Française, Marie Dedieu, enlevées par des pirates au large de la côte touristique kényane. Trois jours après, l’armée du Kenya avait alors donné son feu vert pour intervenir militairement en Somalie, prenant prétexte de ces kidnappings d’expatriés à répétition sur son territoire pour « sécuriser le territoire ».
Le sort des deux Espagnoles avait fait l'objet de désinformations. Mais selon plusieurs sources concordantes, elles ont passé la majeure partie de leur détention dans la zone sud du pays.
Source : Rfi.fr