La création de l’Atmis entérine le retrait progressif des 20 000 troupes et policiers internationaux de Somalie qui jusqu’ici composaient l’Amisom. Près de 2 000 militaires devraient quitter la force d’ici la fin de l’année 2022, puis d’autres suivront en quatre phases. L’objectif est d’arriver ce que l’Atmis ne compte plus aucun homme fin décembre 2024.
Opérations conjointes avec les Somaliens Le principal objectif de cette nouvelle mission est de conduire des opérations conjointes avec les forces somaliennes pour contrer les jihadistes shebabs. Cette filiale est la plus grande et la mieux financée de toutes les branches d’al-Qaïda. L’Atmis devra aussi assurer la protection des communautés locales, du personnel de l’ONU, ainsi qu’assister à la réimplantation de la présence de l’État.
Cela fait plus d’un an que Mogadiscio exigeait le retrait des forces de l’Union africaine qui assuraient le maintien de la paix et de la sécurité dans la Corne de l’Afrique depuis 15 ans. Une demande cohérente avec son plan de transition pour la Somalie de 2021, mais que l’Union africaine et l’Union européenne - principal financier de l’Amisom - avaient du mal à accepter.
La Somalie doit assurer sa propre sécurité Le Conseil de sécurité a rappelé que son objectif était que la Somalie puisse assurer sa propre sécurité. Pour cela, il l’invite à ne pas retarder plus longtemps son processus électoral.
Opérations conjointes avec les Somaliens Le principal objectif de cette nouvelle mission est de conduire des opérations conjointes avec les forces somaliennes pour contrer les jihadistes shebabs. Cette filiale est la plus grande et la mieux financée de toutes les branches d’al-Qaïda. L’Atmis devra aussi assurer la protection des communautés locales, du personnel de l’ONU, ainsi qu’assister à la réimplantation de la présence de l’État.
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