"Le principe que j'ai toujours adopté en la matière c'est que moins j'en parle, plus on est en mesure de pouvoir agir efficacement", mais "on essaie de tout faire pour que nos compatriotes puissent retrouver la liberté le plus rapidement possible", a-t-il déclaré sur France-Info.
Le ministre de la Défense a tenu à rappeler que les cinq membres d'équipage "ont été prévenus à plusieurs reprises: ils ont été assez longtemps au quai à Djibouti, où les services français leur ont indiqué que l'idée de se rendre au Kenya était assez dangereux et qu'on leur déconseillait de le faire".
"Ils ont aussi été survolés par un hélicoptère français, qui leur a fait part de la même observation lorsqu'il étaient en mer, et ils ont croisé un bateau français, le Floréal, qui leur a totalement déconseillé de se rendre seuls vers le Kenya", a-t-il ajouté. Mais "ils ont continué leur route dans une zone, où on sait très bien que le risque de piraterie est absolument majeur".
Le ministre de la Défense a tenu à rappeler que les cinq membres d'équipage "ont été prévenus à plusieurs reprises: ils ont été assez longtemps au quai à Djibouti, où les services français leur ont indiqué que l'idée de se rendre au Kenya était assez dangereux et qu'on leur déconseillait de le faire".
"Ils ont aussi été survolés par un hélicoptère français, qui leur a fait part de la même observation lorsqu'il étaient en mer, et ils ont croisé un bateau français, le Floréal, qui leur a totalement déconseillé de se rendre seuls vers le Kenya", a-t-il ajouté. Mais "ils ont continué leur route dans une zone, où on sait très bien que le risque de piraterie est absolument majeur".