A Lima, Barack Obama était bien présent mais Donald Trump était dans tous les esprits. Le président chinois n’a pas manqué de jouer de sa différence avec le président américain élu qui a promis une politique protectionniste pour protéger les emplois américains menacés, d’après lui, par la politique économique de la Chine.
Officiellement, Xi Jinping espère toujours que les deux pays « pourront coopérer, administrer leurs différences et assurer une transition douce dans leur relation bilatérale ». Il a tout de même profité de l’occasion de cette dernière rencontre avec Obama pour vanter les mérites du RCEP, un projet d’accord de libre-échange entre la Chine, l’Association des nations du sud-est asiatique et des pays comme l’Australie et l’Inde mais sans les Etats-Unis.
Ce projet est censé être la première étape dans la construction d’une future zone de libre échange Asie-Pacifique. Il cherche à remplacer l'accord de partenariat transpacifique (TPP) signé l’an dernier entre douze pays de la région sous l’impulsion de Barack Obama mais que l’élection de Donald Trump a probablement condamné à mort. Un enjeu stratégique sur lequel Barack Obama n’a plus grande prise dans une région où les 21 économies de l’Apec représentent 60% du commerce mondial.
Officiellement, Xi Jinping espère toujours que les deux pays « pourront coopérer, administrer leurs différences et assurer une transition douce dans leur relation bilatérale ». Il a tout de même profité de l’occasion de cette dernière rencontre avec Obama pour vanter les mérites du RCEP, un projet d’accord de libre-échange entre la Chine, l’Association des nations du sud-est asiatique et des pays comme l’Australie et l’Inde mais sans les Etats-Unis.
Ce projet est censé être la première étape dans la construction d’une future zone de libre échange Asie-Pacifique. Il cherche à remplacer l'accord de partenariat transpacifique (TPP) signé l’an dernier entre douze pays de la région sous l’impulsion de Barack Obama mais que l’élection de Donald Trump a probablement condamné à mort. Un enjeu stratégique sur lequel Barack Obama n’a plus grande prise dans une région où les 21 économies de l’Apec représentent 60% du commerce mondial.