Les opportunités de développement d’un meilleur climat des affaires dans les pays ACP ont été passées en revue par les chefs d’entreprises, des capitaines d’industrie et de jeunes entrepreneurs pendant 72h. Les panels qui se sont déroulés au village du 9e sommet, qui par ailleurs abrite une exposition, a été une occasion de networking, de partages d’expériences et de solutions pour booster l’entreprenariat et les petites et moyennes entreprises. Une initiative du secrétariat des ACP saluée par les autorités présentes au sommet de Nairobi.
Le secrétaire général, Patrick Gomes a fait savoir que le secrétariat du groupe des pays ACP s’est engagé dans le développement du secteur privé affecté. Il a affecté 17% de ses ressources soit plus 600 millions d’euros à ce secteur. Le secrétariat ne se limite pas seulement à ces ressources car il est en train de finaliser des négociations avec d’autres partenaires plus de fonds afin de développer le secteur privé qui est moteur de croissance. A ce sujet, il a salué les efforts et la réceptivité de la Fondation Tony Elumelu.
Patrick Gomes a révélé que «le conseil des ministres recommande le lancement d’un fonds fiduciaire et de dotation (FFD) ACP sous la juridiction luxembourgeoise. Le conseil a approuvé la nouvelle structure de gouvernance adaptée aux exigences de celle luxembourgeoise qui permet à un fonds unique d’établir différents guichets pour recevoir notamment des contributions volontaires des Etats membres et des dons d’organisations philanthropiques et d’autres donateurs. Elle va aussi comprendre la création de fonds spéciaux tels que des fonds de garantie et des fonds de placements pour des projets spécifiques».
Le secrétaire général des ACP n’a pas manqué de tresser des lauriers au Kenya qui a pu réussir de succès dans les domaines de l’horticulture et autres. L’exemple Tony O. Elumelu servi, sa fondation a accompagné 750.000 jeunes entrepreneurs
Le président et fondateur de la célèbre Fondation Tony O. Elumelu a commencé par souligner les convergences entre ses initiatives et les orientations de Afrique Caraïbes et Pacifique. Selon lui, «ce groupe s’est doté d’une mission fondamentale et nous partageons les mêmes préoccupations et opportunités. Dans ce monde de géopolitique brutale, nous devons faire entendre nos voix pour combattre l’émigration, les changements climatiques et autres facteurs qui entravent notre développement».
L’un des capitaines d’industrie les plus célèbres de l’Afrique qui a son actif plusieurs multinationales africaines de partager : «Je voyage très souvent et j’ai vu les échecs des politiques qui négligent la création de valeurs. Il n’y a pas de politiques pour cristalliser les créations de richesses. En revanche, il n’y a pas que des échecs. Il y a une réflexion du gouvernement à long terme au Kenya pour renforcer l’exportation dans le monde».
Tony O. Elumelu s’est interrogé : «comment l’économie peut croître pour tous les pays ACP qui ont une jeunesse bien connectée et qui a envie de proposer des solutions. Nous devons encourager la transformation pour relever ces défis ?» Et de servir son exemple : «je suis homme d’affaire et par la ténacité, j’ai pu monter beaucoup d’entreprises en Afrique. Mais la création d’entreprise n’est pas seulement une récompense. Nous avons créé une fondation qui met en œuvre la philosophie économique en Afrique. Les entreprises doivent créer une croissance sociale». Il a invité les entreprises publiques et privées à travailler ensemble.
Le patron de la banque multinationale UBA a expliqué que «Sa fondation est la entreprise philanthropique première en Afrique qui a accompagné 750.000 entrepreneurs en Afrique. Nous espérons encore recevoir 400.000 demandes. Nous avons créé une plateforme numérique (Tony Elumelu Fondation -TEFconnect) qui connecte plus de 750.000 entrepreneurs et suscitent des partenariats pour faire tomber les barrières et autres préjugés. 1500 jeunes d’Afrique de l’Est sont bénéficiaires de ma fondation. Ils sont pour la plupart dans le domaine du numérique».
Tony Elumelu n’a pas manqué d’évoquer les succes-stories du Kenya sur le plan de l’économie, de l’entreprenariat jeune mais aussi de la médecine. Le président Kenyatta vante le modèle de son pays et réclame des solutions de financement réalisables
IL s’est félicité de l’initiative du secrétariat des ACP de mettre en place une plateforme du secteur privé. Kenyatta a rappelé que «l’objectif du dialogue est de promouvoir la transformation industrielle et de nous mettre d’accord autour de stratégies valables et viables. A cet effet des propositions ont été élaborées et nos Etats devront se battre pour les mettre en œuvre avec des priorités».
Uhuru Kenyatta est convaincu que «les peuples sont nos ressources les plus importantes. Les ACP font plus d’un milliard la plupart sont des jeunes très dynamiques. Ils deviendront le moteur de la transformation que nous recherchons». Dans cette lancée, il a partagé quelques initiatives de son gouvernement. «Le Kenya s’est efforcé à rendre l’enseignement primaire gratuit. Il a considérablement investi dans l’économie numérique. Il est en train de promouvoir l’intégration des jeunes dans les technologies numériques. Il y a aussi des projets visant à soutenir les entrepreneurs et les petites et moyennes entreprises qui représentent entre 80 et 90% des emplois au Kenya. Pour une meilleure croissance les PME devront accueillir davantage de groupes vulnérables qui peut être un critère de financement.
Mais, il y a une nécessité de promouvoir l’industrialisation de l’agriculture, de développer les chaînes de valeurs. Elle emploie la moitié de notre main d’œuvre qui sont souvent pauvres. Leur intégration dans l’industrialisation permettra un meilleur développement».
S’adressant aux membres du secrétariat et aux dirigeants de la plateforme du secteur privé, Uhuru Kenyatta a fait savoir «nous attendons le rapport sur des solutions réalisables de financement. Dans ce cadre, il a proposé une amélioration du cadre réglementaire et institutionnel en leur donnant l’opportunité de croître et de devenir de grandes entreprises. Améliorer l’environnement pour une meilleure compétitivité. Au Kenya, nous avons pu améliorer notre rang Doing business de la 137e place, nous sommes à la 54e maintenant».
Le secrétaire général, Patrick Gomes a fait savoir que le secrétariat du groupe des pays ACP s’est engagé dans le développement du secteur privé affecté. Il a affecté 17% de ses ressources soit plus 600 millions d’euros à ce secteur. Le secrétariat ne se limite pas seulement à ces ressources car il est en train de finaliser des négociations avec d’autres partenaires plus de fonds afin de développer le secteur privé qui est moteur de croissance. A ce sujet, il a salué les efforts et la réceptivité de la Fondation Tony Elumelu.
Patrick Gomes a révélé que «le conseil des ministres recommande le lancement d’un fonds fiduciaire et de dotation (FFD) ACP sous la juridiction luxembourgeoise. Le conseil a approuvé la nouvelle structure de gouvernance adaptée aux exigences de celle luxembourgeoise qui permet à un fonds unique d’établir différents guichets pour recevoir notamment des contributions volontaires des Etats membres et des dons d’organisations philanthropiques et d’autres donateurs. Elle va aussi comprendre la création de fonds spéciaux tels que des fonds de garantie et des fonds de placements pour des projets spécifiques».
Le secrétaire général des ACP n’a pas manqué de tresser des lauriers au Kenya qui a pu réussir de succès dans les domaines de l’horticulture et autres. L’exemple Tony O. Elumelu servi, sa fondation a accompagné 750.000 jeunes entrepreneurs
Le président et fondateur de la célèbre Fondation Tony O. Elumelu a commencé par souligner les convergences entre ses initiatives et les orientations de Afrique Caraïbes et Pacifique. Selon lui, «ce groupe s’est doté d’une mission fondamentale et nous partageons les mêmes préoccupations et opportunités. Dans ce monde de géopolitique brutale, nous devons faire entendre nos voix pour combattre l’émigration, les changements climatiques et autres facteurs qui entravent notre développement».
L’un des capitaines d’industrie les plus célèbres de l’Afrique qui a son actif plusieurs multinationales africaines de partager : «Je voyage très souvent et j’ai vu les échecs des politiques qui négligent la création de valeurs. Il n’y a pas de politiques pour cristalliser les créations de richesses. En revanche, il n’y a pas que des échecs. Il y a une réflexion du gouvernement à long terme au Kenya pour renforcer l’exportation dans le monde».
Tony O. Elumelu s’est interrogé : «comment l’économie peut croître pour tous les pays ACP qui ont une jeunesse bien connectée et qui a envie de proposer des solutions. Nous devons encourager la transformation pour relever ces défis ?» Et de servir son exemple : «je suis homme d’affaire et par la ténacité, j’ai pu monter beaucoup d’entreprises en Afrique. Mais la création d’entreprise n’est pas seulement une récompense. Nous avons créé une fondation qui met en œuvre la philosophie économique en Afrique. Les entreprises doivent créer une croissance sociale». Il a invité les entreprises publiques et privées à travailler ensemble.
Le patron de la banque multinationale UBA a expliqué que «Sa fondation est la entreprise philanthropique première en Afrique qui a accompagné 750.000 entrepreneurs en Afrique. Nous espérons encore recevoir 400.000 demandes. Nous avons créé une plateforme numérique (Tony Elumelu Fondation -TEFconnect) qui connecte plus de 750.000 entrepreneurs et suscitent des partenariats pour faire tomber les barrières et autres préjugés. 1500 jeunes d’Afrique de l’Est sont bénéficiaires de ma fondation. Ils sont pour la plupart dans le domaine du numérique».
Tony Elumelu n’a pas manqué d’évoquer les succes-stories du Kenya sur le plan de l’économie, de l’entreprenariat jeune mais aussi de la médecine. Le président Kenyatta vante le modèle de son pays et réclame des solutions de financement réalisables
IL s’est félicité de l’initiative du secrétariat des ACP de mettre en place une plateforme du secteur privé. Kenyatta a rappelé que «l’objectif du dialogue est de promouvoir la transformation industrielle et de nous mettre d’accord autour de stratégies valables et viables. A cet effet des propositions ont été élaborées et nos Etats devront se battre pour les mettre en œuvre avec des priorités».
Uhuru Kenyatta est convaincu que «les peuples sont nos ressources les plus importantes. Les ACP font plus d’un milliard la plupart sont des jeunes très dynamiques. Ils deviendront le moteur de la transformation que nous recherchons». Dans cette lancée, il a partagé quelques initiatives de son gouvernement. «Le Kenya s’est efforcé à rendre l’enseignement primaire gratuit. Il a considérablement investi dans l’économie numérique. Il est en train de promouvoir l’intégration des jeunes dans les technologies numériques. Il y a aussi des projets visant à soutenir les entrepreneurs et les petites et moyennes entreprises qui représentent entre 80 et 90% des emplois au Kenya. Pour une meilleure croissance les PME devront accueillir davantage de groupes vulnérables qui peut être un critère de financement.
Mais, il y a une nécessité de promouvoir l’industrialisation de l’agriculture, de développer les chaînes de valeurs. Elle emploie la moitié de notre main d’œuvre qui sont souvent pauvres. Leur intégration dans l’industrialisation permettra un meilleur développement».
S’adressant aux membres du secrétariat et aux dirigeants de la plateforme du secteur privé, Uhuru Kenyatta a fait savoir «nous attendons le rapport sur des solutions réalisables de financement. Dans ce cadre, il a proposé une amélioration du cadre réglementaire et institutionnel en leur donnant l’opportunité de croître et de devenir de grandes entreprises. Améliorer l’environnement pour une meilleure compétitivité. Au Kenya, nous avons pu améliorer notre rang Doing business de la 137e place, nous sommes à la 54e maintenant».