Riek Machar est-il retenu en Afrique du Sud ? C'est ce qu'affirment certaines sources diplomatiques dans le pays. L’ex-vice-président sud-soudanais se trouverait assigné à résidence près de Pretoria, ses mouvements restreints et ses communications contrôlées.
Une information catégoriquement démentie par le ministère sud-africain des Affaires étrangères.Selon son porte-parole, Clayson Monyela, Riek Machar est un invité dans le pays. « L’Igad, l'organisation des Etats d'Afrique de l'Est, ainsi que plusieurs pays œuvrant pour la paix au Soudan du Sud ont demandé à ce que Machar puisse rester en Afrique du Sud. Il est notre invité. L'Afrique du Sud discute avec tous les acteurs du conflit par l’intermédiaire de notre vice-président, donc nous continuons de jouer ce rôle de médiateur, et donc nous discutons avec Machar. Et sa présence en Afrique du Sud fait partie de nos efforts de médiation », explique-t-il.
Un exil qui arrange tout le monde. Riek Machar est accusé d'attiser le conflit à distance. Il y a deux semaines, le président Salva Kiir, en visite en Afrique du Sud, affirmait que son ex-vice-président devenu rebelle n'avait pas sa place à Juba tant qu'il continuerait de déstabiliser le pays.
Une information catégoriquement démentie par le ministère sud-africain des Affaires étrangères.Selon son porte-parole, Clayson Monyela, Riek Machar est un invité dans le pays. « L’Igad, l'organisation des Etats d'Afrique de l'Est, ainsi que plusieurs pays œuvrant pour la paix au Soudan du Sud ont demandé à ce que Machar puisse rester en Afrique du Sud. Il est notre invité. L'Afrique du Sud discute avec tous les acteurs du conflit par l’intermédiaire de notre vice-président, donc nous continuons de jouer ce rôle de médiateur, et donc nous discutons avec Machar. Et sa présence en Afrique du Sud fait partie de nos efforts de médiation », explique-t-il.
Un exil qui arrange tout le monde. Riek Machar est accusé d'attiser le conflit à distance. Il y a deux semaines, le président Salva Kiir, en visite en Afrique du Sud, affirmait que son ex-vice-président devenu rebelle n'avait pas sa place à Juba tant qu'il continuerait de déstabiliser le pays.
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