Un combattant de la rébellion de Riek Machar à Bentiu, au Soudan du Sud.
Ce qui m’inquiète, c’est qu'une différence politique a dégénéré en une confrontation où les combattants commencent à s’identifier ethniquement. Et c'est là où on a les premiers ingrédients d'une guerre civile dont les conséquences pourraient être génocidaires. On a des milliers de jeunes gens qui sont armés. Il y a maintenant de la haine partout.
Alexander RondosReprésentant spécial de l'Union européenne pour la Corne de l'Afrique, membre de la délégation.
Source : Rfi.fr
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