
Sur le principe, ils sont tous d’accord : un compromis doit être trouvé dans l’année 2025. Lors de ses vœux, le président Salva Kiir, en a fait une condition sine qua non pour l’organisation d’élections générales en 2026. Initialement prévues en décembre 2024, le gouvernement avait décidé unilatéralement de les reporter.
« Patriotisme »
Salva Kiir en appelle à la responsabilité de ses opposants, et demande « à ses frères de faire preuve de patriotisme et de placer les intérêts du pays en premier ». C’est bien l’avis de Pagan Amum Okiech, président du Vrai-SPLM, une faction dissidente du parti actuellement au pouvoir. Dans ses vœux, il demande à tous les Soudanais « de soutenir le processus de Tumaini ». Mais il blâme également le gouvernement de transition pour ses revirements constants de position, qui, selon lui, hypothèquent les discussions.
« Pour que Tumaini réussisse, il faut un changement d’attitude politique global » estime dans un communiqué, Edmund Yakani, directeur de l’Organisation d’autonomisation des communautés pour le progrès (Cepo). Pour lui, les discussions ne doivent se concentrer que sur un seul sujet : l’organisation d’élections libres et démocratiques en 2026.
« Patriotisme »
Salva Kiir en appelle à la responsabilité de ses opposants, et demande « à ses frères de faire preuve de patriotisme et de placer les intérêts du pays en premier ». C’est bien l’avis de Pagan Amum Okiech, président du Vrai-SPLM, une faction dissidente du parti actuellement au pouvoir. Dans ses vœux, il demande à tous les Soudanais « de soutenir le processus de Tumaini ». Mais il blâme également le gouvernement de transition pour ses revirements constants de position, qui, selon lui, hypothèquent les discussions.