Lors de ces contacts, les discussions se sont concentrées sur l’application de l’accord de Jeddah. Le Conseil souverain a présenté sa vision, expliquant que sa participation à Genève dépendait de la réponse des médiateurs à sa requête.
Le gouvernement soudanais, désigné par le Conseil souverain dirigé par le général Abdel Fattah al-Burhan, le chef de l’armée, a réitéré sa position fixe : à savoir qu’il ne participera pas aux pourparlers de Genève tant que les résolutions de l’accord de Jeddah n’ont pas été mises en œuvre. Soit : le retrait des FSR de toutes les zones civiles au Soudan et l’acheminement sans entraves de l’aide humanitaire.
Jeudi dernier, l’armée soudanaise a anticipé l’un des principaux sujets de Genève en déclarant qu’elle autoriserait l’utilisation du point de passage d’Adré, frontalier avec le Tchad, pour l’acheminement de l’aide humanitaire au Darfour.
De son côté, le chef des FSR, Mohamad Hamdane Dogolo Hemedti, a menacé d’user « d’autres choix que nous pourrons exécuter quand cela deviendra nécessaire », a-t-il indiqué sur le réseau X sans plus de précisions.
Le gouvernement soudanais, désigné par le Conseil souverain dirigé par le général Abdel Fattah al-Burhan, le chef de l’armée, a réitéré sa position fixe : à savoir qu’il ne participera pas aux pourparlers de Genève tant que les résolutions de l’accord de Jeddah n’ont pas été mises en œuvre. Soit : le retrait des FSR de toutes les zones civiles au Soudan et l’acheminement sans entraves de l’aide humanitaire.
Jeudi dernier, l’armée soudanaise a anticipé l’un des principaux sujets de Genève en déclarant qu’elle autoriserait l’utilisation du point de passage d’Adré, frontalier avec le Tchad, pour l’acheminement de l’aide humanitaire au Darfour.
De son côté, le chef des FSR, Mohamad Hamdane Dogolo Hemedti, a menacé d’user « d’autres choix que nous pourrons exécuter quand cela deviendra nécessaire », a-t-il indiqué sur le réseau X sans plus de précisions.