En partenariat avec le Programme sénégalais pour l’entreprenariat des jeunes (PSE-J), la Banque islamique de développement (BID) a procédé ce matin au lancement des fonds «Transform» et de la plateforme «Engage».
Ces deux initiatives participent, selon Dr Hayat Sindi, conseillère du président de la BID pour les Sciences, la Technologie et l’Innovation (STI), à soutenir l’innovation au sein des Etats du monde musulman en vue de développer de créer une interconnexion, de soutenir les projets qui peuvent avoir un réel impact sur les populations, mais aussi, de mettre en relation les jeunes entrepreneurs, avec les décideurs politiques, les investisseurs, entre autres.
Revenant sur le choix du Sénégal et le partenariat avec le PSE-J, la scientifique fait savoir que c’est dû à l’importance portée par les autorités aux sciences, mais aussi aux technologies et innovations. D’ailleurs, soutient-elle, le Sénégal constitue, pour la BID, la porte d’entrée de l’Afrique subsaharienne », d’autant plus que Dakar abrite son bureau régional et, ajoute-t-elle, le programme concerne tous les pays-membres.
D’ailleurs, c’est dans ce sens que l’équipe de la BID s’est déjà rendue en Malaisie, au Maroc, entre autres pays, où le projet a été bien accueilli. Quid du PSE-J, Dr Hayat est d’avis qu’il constitue une opportunité dont l’institution financière s’est saisie car visant les mêmes cibles, à savoir, les jeunes entrepreneurs porteurs de projets de développement pouvant bénéficier à toutes les populations.
Selon elle, cette visite entre dans le cadre d’une sensibilisation sur les sciences, innovations et technologies, mais aussi, permet de «toucher du doigt les problèmes pour pouvoir y apporter une les solutions adéquates».
Se saisissant de l’occasion, Pr Amadou Tidiane Ndiaye qui a présidé la cérémonie de lancement s’est félicité de cette opportunité, tout en relevant que ces initiatives sont en droite ligne avec «les politiques publiques et la mise en œuvre des réformes qui sont engagées au niveau de l’enseignement supérieur».
«Et, poursuit-il, quand la Banque islamique intervient dans ce cadre, elle vient en appui aux politiques publiques et c’est dans ce sens qu’il faut expliquer et justifier la présence du ministère de l’Enseignement supérieur à cette cérémonie». D’où son appel à ce que ce partenariat, qui n’est pas encore officiel, soit formalisé afin d’en faire bénéficier aux différentes parties prenantes.
Ces deux initiatives participent, selon Dr Hayat Sindi, conseillère du président de la BID pour les Sciences, la Technologie et l’Innovation (STI), à soutenir l’innovation au sein des Etats du monde musulman en vue de développer de créer une interconnexion, de soutenir les projets qui peuvent avoir un réel impact sur les populations, mais aussi, de mettre en relation les jeunes entrepreneurs, avec les décideurs politiques, les investisseurs, entre autres.
Revenant sur le choix du Sénégal et le partenariat avec le PSE-J, la scientifique fait savoir que c’est dû à l’importance portée par les autorités aux sciences, mais aussi aux technologies et innovations. D’ailleurs, soutient-elle, le Sénégal constitue, pour la BID, la porte d’entrée de l’Afrique subsaharienne », d’autant plus que Dakar abrite son bureau régional et, ajoute-t-elle, le programme concerne tous les pays-membres.
D’ailleurs, c’est dans ce sens que l’équipe de la BID s’est déjà rendue en Malaisie, au Maroc, entre autres pays, où le projet a été bien accueilli. Quid du PSE-J, Dr Hayat est d’avis qu’il constitue une opportunité dont l’institution financière s’est saisie car visant les mêmes cibles, à savoir, les jeunes entrepreneurs porteurs de projets de développement pouvant bénéficier à toutes les populations.
Selon elle, cette visite entre dans le cadre d’une sensibilisation sur les sciences, innovations et technologies, mais aussi, permet de «toucher du doigt les problèmes pour pouvoir y apporter une les solutions adéquates».
Se saisissant de l’occasion, Pr Amadou Tidiane Ndiaye qui a présidé la cérémonie de lancement s’est félicité de cette opportunité, tout en relevant que ces initiatives sont en droite ligne avec «les politiques publiques et la mise en œuvre des réformes qui sont engagées au niveau de l’enseignement supérieur».
«Et, poursuit-il, quand la Banque islamique intervient dans ce cadre, elle vient en appui aux politiques publiques et c’est dans ce sens qu’il faut expliquer et justifier la présence du ministère de l’Enseignement supérieur à cette cérémonie». D’où son appel à ce que ce partenariat, qui n’est pas encore officiel, soit formalisé afin d’en faire bénéficier aux différentes parties prenantes.