Le secteur privé Sénégalais est majoritaire dans la nouvelle compagnie aérienne qui démarre ses activités en début 2010. Il a, en effet, répondu massivement et spontanément à l’appel du ministre des transports aériens, Karim Wade pour la création d’une nouvelle compagnie nationale. En effet, dans un communiqué parvenu à la rédaction de Pressafrik.com, on nous apprend que le secteur privé national a relevé le défi. Le document révèle que, «le processus de création de la nouvelle compagnie aérienne Sénégal Airlines a franchit une étape décisive avec la mobilisation du capital initial d’un montant de 17 milliards de francs CFA, soit 36 millions de dollars majoritairement détenu par le secteur privé national sénégalais alors que 15 milliards de francs CFA, soit 34 millions de dollars étaient recherchés».
La source d’indiquer que, «64% de ce capital initial sera réservé pour le secteur privé national alors que l’Etat du Sénégal, à travers ses droits de trafics et par le biais de la participation de certains de ses démembrements (Aéroports du Sénégal, Caisse de Dépôts et Consignations et Port Autonome de Dakar) aura à gérer les 31%. Le personnel n’a pas été oublié puisqu’il va bénéficier de 5% gratuit.
Cette opération, une première au Sénégal, fruit d’un partenariat entre le secteur privé et l’Etat, et associant exceptionnellement les travailleurs, connaît ainsi «une réussite allant au delà de toutes les attentes». Ainsi ce processus, conduit de manière professionnelle par des banquiers et notaires de la place en étroite collaboration avec les fonctionnaires et le concours actif des ex travailleurs d’Air Sénégal International (ASI), a été réalisé dans un délai record. Cet engouement, dans un contexte économique mondial particulièrement difficile pour le transport aérien, traduit la confiance du secteur privé dans le potentiel de l’économie sénégalaise et son adhésion à la vision stratégique du Chef de l’Etat de faire du Sénégal un « HUB ».
La source d’indiquer que, «64% de ce capital initial sera réservé pour le secteur privé national alors que l’Etat du Sénégal, à travers ses droits de trafics et par le biais de la participation de certains de ses démembrements (Aéroports du Sénégal, Caisse de Dépôts et Consignations et Port Autonome de Dakar) aura à gérer les 31%. Le personnel n’a pas été oublié puisqu’il va bénéficier de 5% gratuit.
Cette opération, une première au Sénégal, fruit d’un partenariat entre le secteur privé et l’Etat, et associant exceptionnellement les travailleurs, connaît ainsi «une réussite allant au delà de toutes les attentes». Ainsi ce processus, conduit de manière professionnelle par des banquiers et notaires de la place en étroite collaboration avec les fonctionnaires et le concours actif des ex travailleurs d’Air Sénégal International (ASI), a été réalisé dans un délai record. Cet engouement, dans un contexte économique mondial particulièrement difficile pour le transport aérien, traduit la confiance du secteur privé dans le potentiel de l’économie sénégalaise et son adhésion à la vision stratégique du Chef de l’Etat de faire du Sénégal un « HUB ».