Barthélémy :était Souriant avant jugement.
Juge : provoquer attroupement non suivi, discrédit jeté à la justice et outrage à magistrats.
Outage magistrats, discrédit jeté à la justice : un mois à deux ans et discrédit un à dix mois.
Propos tenus dans un lieu public et dit dans un média public : échappe à l’article. Réaction à chaud du prévenu sur la décision venant de tomber : Liberté d’expression, mais ne doit pas porter atteinte à l’honneur.
Porte atteinte à l’honneur et à la dignité des magistrats.
Provocation à un attroupement non armé et non suivi des faits : 1 mois à 6 mois. Pas un attroupement mais appel à attroupement.
Propos semblaient s’inscrire dans les lignes de la colère.
10h 10 : Barthélémy Dias condamné à 6 mois de prison ferme
Le verdict est tombé au tribunal des Flagrants délits. Barthélémy Dias a été condamné à 6 mois de prison ferme assortis d'une amende de 100 000 Fcfa par le juge Yakham Keita.
Il va donc réaliser son souhait de rejoindre Khalifa Sall en prison pour lui tenir compagnie, au moins pendant les six prochains mois...
09h 54 : l'audience est ouverte
09h 40 : A noter que le prévenu Barthélémy Dias n'est toujours pas dans le box et qu'il y a au moins une dizaine de gendarmes dans la salle et un policier. Toutefois, les éléments du Groupement d'intervention de la gendarmerie nationale (Gign) ne sont pas présents aujourd'hui, comme ce fut le cas lors de l'audience du 6 avril dernier
09h 37 : Me El Haj Diouf continue de jeter ses piques aux gendarmes :
"Le tribunal n'est pas un camp militaire. Il faut dénoncer cela. Leur présence dans la salle ne garantit pas notre sécurité. Tout le monde doit dénoncer cela", lance-t-il
09h 35 : Me El Haj Diouf fait une fracassante entrée dans la salle d'audience et chauffe le public. Il raille les gendarmes et assimile leur disposition à celle préparant une "guerre mondiale"
09h 33 : La salle 1 du Palais de justice de Dakar refuse du monde. certains sont même debout, faute de place. Le juge Yakham Keita et ses assesseurs ne sont pas encore sur place. Les avocats de Barthélémy Dias, idem. Devant le tribunal, le dispositif sécuritaire est bien en place
Juge : provoquer attroupement non suivi, discrédit jeté à la justice et outrage à magistrats.
Outage magistrats, discrédit jeté à la justice : un mois à deux ans et discrédit un à dix mois.
Propos tenus dans un lieu public et dit dans un média public : échappe à l’article. Réaction à chaud du prévenu sur la décision venant de tomber : Liberté d’expression, mais ne doit pas porter atteinte à l’honneur.
Porte atteinte à l’honneur et à la dignité des magistrats.
Provocation à un attroupement non armé et non suivi des faits : 1 mois à 6 mois. Pas un attroupement mais appel à attroupement.
Propos semblaient s’inscrire dans les lignes de la colère.
10h 10 : Barthélémy Dias condamné à 6 mois de prison ferme
Le verdict est tombé au tribunal des Flagrants délits. Barthélémy Dias a été condamné à 6 mois de prison ferme assortis d'une amende de 100 000 Fcfa par le juge Yakham Keita.
Il va donc réaliser son souhait de rejoindre Khalifa Sall en prison pour lui tenir compagnie, au moins pendant les six prochains mois...
09h 54 : l'audience est ouverte
09h 40 : A noter que le prévenu Barthélémy Dias n'est toujours pas dans le box et qu'il y a au moins une dizaine de gendarmes dans la salle et un policier. Toutefois, les éléments du Groupement d'intervention de la gendarmerie nationale (Gign) ne sont pas présents aujourd'hui, comme ce fut le cas lors de l'audience du 6 avril dernier
09h 37 : Me El Haj Diouf continue de jeter ses piques aux gendarmes :
"Le tribunal n'est pas un camp militaire. Il faut dénoncer cela. Leur présence dans la salle ne garantit pas notre sécurité. Tout le monde doit dénoncer cela", lance-t-il
09h 35 : Me El Haj Diouf fait une fracassante entrée dans la salle d'audience et chauffe le public. Il raille les gendarmes et assimile leur disposition à celle préparant une "guerre mondiale"
09h 33 : La salle 1 du Palais de justice de Dakar refuse du monde. certains sont même debout, faute de place. Le juge Yakham Keita et ses assesseurs ne sont pas encore sur place. Les avocats de Barthélémy Dias, idem. Devant le tribunal, le dispositif sécuritaire est bien en place