17H58 le député Bougazéli
"Si le président Macky Sall veut un 3e mandat, les Sénégalais lui accorderont. Pendant son septennat, il a suffisamment montré qu'il est un homme de confiance. Il a respecté toutes ses promesses que ce soit dans l'éducation, les coupures d'électricité et tant d'autres domaines. Je suis pour le vote de cette loi."
17H00 Abdoulaye Wilane
"Je vous dis pourquoi je vote et vais faire voter la loi. Gouverner c'est prévoir. Suppression du poste de premier ministre rend le président toute sa responsabilité entière. Et ça n'enlève en aucun cas le pouvoir du parlement après la vote de la loi".
16H 30 Déthié Fall, député Rewmi
"Ce projet de loi est piège. Monsieur le président de l'Assemblée nationale, vous a été témoin privilégié de l'histoire politique de notre pays. Vous savez que notre Constitution n'a jamais été agressée".
13H 24: Mamadou Lamine Diallo soupçonne un coup "Poutine-Medvedev" de Macky en 2024
"Boun Dionne ne doit pas accepter d'être immolé comme ça même si on lui a promis la posture de Medvedev. Macky Sall a distribué un texte, en 2011, dans lequel il défend la dictature éclairée. Mais il ne peut pas appliquer la dictature éclairée au Sénégal. En réalité, il adopte la posture de Mobutu Sese Seko... ils ont d'ailleurs les mêmes initiales. Et les Djinns retiennent les initiales. (Premier ministre de la Russie, qui avait remplacé, le temps d'un mandat, le Président Vladimir Poutine, à la Présidence de la Russie, ndlr)"
13H 12: Le président de la Commission des lois pète un câble contre le député Cheikh Abdou Mbacké. "Il faut respecter les gens. Dire que des députés ont été achetés ne relève pas du respect. C'est le vendu qui reconnaît ses pairs vendus. Votre nom ne vous donne pas l'ascendant (Mbacké, ndlr) sur les autres députés. Respectez les gens et arrêtez vos actes d'indiscipline".
13H 01: le député Cheikh Abdou Mbacké (Bokk Gis-Gis) décide de prendre la parole. Le président de l'Assemblée nationale s'y oppose. Il brandit le règlement intérieur et le tohu-bohu s'installe dans l'Hémicycle. Après trois minutes de désordre, le président Moustapha Niasse décide de lui donner la parole. "C'est l'article 71 du Règlement intérieur de l'Assemblée nationale qui me permet d'intervenir entre les débats. C'est une honte d'entendre des députés dire, je suis un député de Macky Sall.
12H 50: Le ministre de la Justice, interpellé pour réagir à l'interpellation de Mamadou Lamine Diallo, dit s'en tenir à la déclaration du président de la Commission des lois. "Je pense que la déclaration du député Mamadou Lamine Diallo est impertinente. Par conséquent, je demande à ce que les débats se poursuivent".
12H 46: Le président de la Commission des lois balaie d'un revers de la main, la requête du député Mamadou Lamine Diallo et parle de stratégie de blocage. Seydou Diouf affirme qu'il n'y a aucune inconstitutionnalité dans la nomination du Premier ministre.
12H: 40 : le député Mamadou Lamine Diallo "Tekki" demande à ce que le vote du projet de loi portant révision de la Constitution soit ajourné. Parce que le Premier ministre a été nommé illégalement. Il formule une exception d'inconstitutionnalité.
"La Constitution définit clairement la fonction du Premier ministre. Le président de la République, en nommant le Premier ministre, s'est permis d'ajouter des fonctions comme ministre d'Etat et Secrétaire général de la Présidence, en contradiction avec les textes. Donc puisque le Premier ministre est illégal dans sa nomination, le texte du projet de loi qu'il a signé lui-même, se révèle illégal. Je demande donc à ce que ce vote du projet de loi soit ajourné et renvoyé à la Présidence".
12H 20: Néné Marame Kane
Je vais voter cette loi, car c’est quelque chose de cohérent. C’est nous qui avons élu le chef de l’Etat Macky Sall et il veut aller vite dans l’administration, nous devons l’accompagner et c’est notre devoir.
12H 15: Cheikh Bamba Dieye
"Le projet de loi portant suppression du poste de Premier ministre pose problème, à savoir le manque de débat. Nous venons de sortir d’une élection au cours de laquelle le chef de l’Etat n’a jamais fait part de cette volonté. Cette volonté va à l’encontre de la démocratique qui s’accompagne de la disparition du gouvernement. C’est une incongruité à mon avis. Qu’est ce que cette loi amène de nouveau dans notre démocratie. Chacun d’entre nous doit penser si cette loi est une priorité ou pas. Que ce soit en 1963 ou en 198, c’était juste pour régler des problèmes personnels".
12H 10 Cheikh Abdou Mbacké
"Je ne vais pas voter car vous n’avez pas dit aux Sénégalais pourquoi vous voulez supprimer le poste de Premier ministre. Fast track n’est pas un mot français. Et c’est honteux de dire que je suis le député de Macky Sall. C’est le peuple qui vous a élu. Le Premier ministre doit venir faire une Déclaration politique générale. Cette loi est anticonstitutionnelle et anti-démocratique. Tout ceux qui voteront pour, auront trahi le peuple".
11H 56: Malaw député BBY
"Je le dis haut et fort. Je suis un député de Macky Sall. Les députés de l'opposition appliquent les directives de leurs leaders. Nous, de la majorité on doit faire de même. Nous allons voter le projet de loi".
11H 53: Moustapha Cissé Lo député BBY
"J'appelle tous les députés à voter le projet de loi parce que c'est ce que le Président veut. Vous avez tous été choisis au détriment d'autres camarades pour défendre les intérêts et volontés du président de la République"
11H 51 : le débat peut débuter. 103 parlementaires se sont inscrits sur la liste des intervenants. Moustapha Cissé Lo va ouvrir...
11H 00: le président de l'Assemblée nationale ouvre la liste des intervenants pour les débats. Les députés s'inscrivent.
10H 55: Après l'intervention du président de la Commission des lois, le ministre de la Justice, Me Malick Sall a pris la parole pour défendre la "légitimité" de sa présence pendant le vote du projet de loi portant suppression du poste de Premier ministre. La parole a été redonnée à Bara Dolly, qui a encore contester l'absence du Premier ministre. Sa requête a été soumise au vote et automatiquement annulée par la majorité.
Après, la députée Aida Mbodj a voulu prendre la parole. Mais le président Moustapha Niasse s'y est formellement opposé. Le ton s'est élevé d'un cran, les deux parlementaires ont eu des échanges un peu chauds.
10H 50: Guy Marius Sagna du "Mouvement France Dégage", Babacar Diop, président du Front démocratique sénégalais (Fds) et le président du COS M23 ont été arrêtés devant les portes de l'Assemblée nationale par la police. Ils étaient venus manifester contre le vote du projet de loi pour la suppression du poste de Premier ministre.
Il faut noter qu'il n'y a pas eu de forte mobilisation. Les limiers ont pris d'assaut les alentours de l'hémicycle. Un important dispositif sécuritaire est mis en place pour faire respecter la décision du préfet Dakar, Alioune Badara Samb, qui a interdit le rassemblement des organisations de la Société civile, prévue samedi devant l'Assemblée.
10H 48: le président de la Commission des lois Seydou Diouf accuse l'opposition de vouloir bloquer le vote
A l'Assemblée nationale, il n'y a jamais eu de Déclaration de politique générale d'un vote de confiance. Facultativement, on disait qu'après la Déclaration de politique générale, le Premier ministre après délibération du Conseil des ministres peut le demander. Mais, dans notre pratique parlementaire, depuis lors, la Déclaration de politique générale est juste informative. Parce que le président de la République qui a la légitimité de nommer son Premier ministre a aussi la légitimité de nommer les membres de son gouvernement. L'existence d'un Gouvernement n'est pas liée à une déclaration de politique générale. Si vous ne maîtrisez ce que vous dites il faut demander. On ne peut pas démarrer cette séance avec des stratégies de blocage.
10H 43: Le député Cheikh Abdou Bara Doly réclame la présidence du Premier ministre
Le député Cheikh Abdou Bara Doly (Bokk Giss-Giss) réclame la présence du premier ministre Boun Abdlah Dionne. Pour lui la présence du ministre de la Justice dans l'Hémicycle n'est pas légitime. "votre présence pour le vote de la loi n'est pas légitime. C'est le Premier ministre Boun Abdallah Dionne qui devait être ici. Et pour ce faire également il faudra qu'il obtienne la confiance des députés. Ce rapport n'est pas valable, le Premier ministre devait venir ici pour faire sa Déclaration de politique générale. La violations de lois et des articles à l'Assemblée nationale doit cesser. On attend que le président de la République envoie son Premier ministre pour en débattre sur cette question mais pas avec vous (ministre de la Justice). Ce rapport doit être ramener à la commission pour être ramener revue .
Il poursuit : " Mais comme le président de la République Macky Sall vous a tout simplement remis des pots de vins, pour que vous vous empressiez dans la vote de ce projet de loi nous y sommes. Certains d'entre vous même ont reçu chacun une somme d'un million francs CFA. Ce qui a fait un total de 125 millions Fcfa. Nous ne sommes pas là pour le blocage de la loi. C'est le peuple qui nous anime nous (l'opposition). Contrairement à vous qui veulent faire passer cette loi anticonstitutionnelle. Ce qui devait se faire c'est de reporter le vote de ce projet de loi jusqu'à ce que le premier ministre ait la confiance de l'Hémicycle.
10H: 36: Le président de l'Assemblée nationale Moustapha Niasse a reçu les démissions de Madické Niang et de Modou Diagne Fada. Ils sont respectivement remplacés par Abdou Aziz Diop et Aliou Souaré
10H 05: Le séance a démarré avec une forte présence des parlementaires dans l'hémicycle.
"Si le président Macky Sall veut un 3e mandat, les Sénégalais lui accorderont. Pendant son septennat, il a suffisamment montré qu'il est un homme de confiance. Il a respecté toutes ses promesses que ce soit dans l'éducation, les coupures d'électricité et tant d'autres domaines. Je suis pour le vote de cette loi."
17H00 Abdoulaye Wilane
"Je vous dis pourquoi je vote et vais faire voter la loi. Gouverner c'est prévoir. Suppression du poste de premier ministre rend le président toute sa responsabilité entière. Et ça n'enlève en aucun cas le pouvoir du parlement après la vote de la loi".
16H 30 Déthié Fall, député Rewmi
"Ce projet de loi est piège. Monsieur le président de l'Assemblée nationale, vous a été témoin privilégié de l'histoire politique de notre pays. Vous savez que notre Constitution n'a jamais été agressée".
13H 24: Mamadou Lamine Diallo soupçonne un coup "Poutine-Medvedev" de Macky en 2024
"Boun Dionne ne doit pas accepter d'être immolé comme ça même si on lui a promis la posture de Medvedev. Macky Sall a distribué un texte, en 2011, dans lequel il défend la dictature éclairée. Mais il ne peut pas appliquer la dictature éclairée au Sénégal. En réalité, il adopte la posture de Mobutu Sese Seko... ils ont d'ailleurs les mêmes initiales. Et les Djinns retiennent les initiales. (Premier ministre de la Russie, qui avait remplacé, le temps d'un mandat, le Président Vladimir Poutine, à la Présidence de la Russie, ndlr)"
13H 12: Le président de la Commission des lois pète un câble contre le député Cheikh Abdou Mbacké. "Il faut respecter les gens. Dire que des députés ont été achetés ne relève pas du respect. C'est le vendu qui reconnaît ses pairs vendus. Votre nom ne vous donne pas l'ascendant (Mbacké, ndlr) sur les autres députés. Respectez les gens et arrêtez vos actes d'indiscipline".
13H 01: le député Cheikh Abdou Mbacké (Bokk Gis-Gis) décide de prendre la parole. Le président de l'Assemblée nationale s'y oppose. Il brandit le règlement intérieur et le tohu-bohu s'installe dans l'Hémicycle. Après trois minutes de désordre, le président Moustapha Niasse décide de lui donner la parole. "C'est l'article 71 du Règlement intérieur de l'Assemblée nationale qui me permet d'intervenir entre les débats. C'est une honte d'entendre des députés dire, je suis un député de Macky Sall.
12H 50: Le ministre de la Justice, interpellé pour réagir à l'interpellation de Mamadou Lamine Diallo, dit s'en tenir à la déclaration du président de la Commission des lois. "Je pense que la déclaration du député Mamadou Lamine Diallo est impertinente. Par conséquent, je demande à ce que les débats se poursuivent".
12H 46: Le président de la Commission des lois balaie d'un revers de la main, la requête du député Mamadou Lamine Diallo et parle de stratégie de blocage. Seydou Diouf affirme qu'il n'y a aucune inconstitutionnalité dans la nomination du Premier ministre.
12H: 40 : le député Mamadou Lamine Diallo "Tekki" demande à ce que le vote du projet de loi portant révision de la Constitution soit ajourné. Parce que le Premier ministre a été nommé illégalement. Il formule une exception d'inconstitutionnalité.
"La Constitution définit clairement la fonction du Premier ministre. Le président de la République, en nommant le Premier ministre, s'est permis d'ajouter des fonctions comme ministre d'Etat et Secrétaire général de la Présidence, en contradiction avec les textes. Donc puisque le Premier ministre est illégal dans sa nomination, le texte du projet de loi qu'il a signé lui-même, se révèle illégal. Je demande donc à ce que ce vote du projet de loi soit ajourné et renvoyé à la Présidence".
12H 20: Néné Marame Kane
Je vais voter cette loi, car c’est quelque chose de cohérent. C’est nous qui avons élu le chef de l’Etat Macky Sall et il veut aller vite dans l’administration, nous devons l’accompagner et c’est notre devoir.
12H 15: Cheikh Bamba Dieye
"Le projet de loi portant suppression du poste de Premier ministre pose problème, à savoir le manque de débat. Nous venons de sortir d’une élection au cours de laquelle le chef de l’Etat n’a jamais fait part de cette volonté. Cette volonté va à l’encontre de la démocratique qui s’accompagne de la disparition du gouvernement. C’est une incongruité à mon avis. Qu’est ce que cette loi amène de nouveau dans notre démocratie. Chacun d’entre nous doit penser si cette loi est une priorité ou pas. Que ce soit en 1963 ou en 198, c’était juste pour régler des problèmes personnels".
12H 10 Cheikh Abdou Mbacké
"Je ne vais pas voter car vous n’avez pas dit aux Sénégalais pourquoi vous voulez supprimer le poste de Premier ministre. Fast track n’est pas un mot français. Et c’est honteux de dire que je suis le député de Macky Sall. C’est le peuple qui vous a élu. Le Premier ministre doit venir faire une Déclaration politique générale. Cette loi est anticonstitutionnelle et anti-démocratique. Tout ceux qui voteront pour, auront trahi le peuple".
11H 56: Malaw député BBY
"Je le dis haut et fort. Je suis un député de Macky Sall. Les députés de l'opposition appliquent les directives de leurs leaders. Nous, de la majorité on doit faire de même. Nous allons voter le projet de loi".
11H 53: Moustapha Cissé Lo député BBY
"J'appelle tous les députés à voter le projet de loi parce que c'est ce que le Président veut. Vous avez tous été choisis au détriment d'autres camarades pour défendre les intérêts et volontés du président de la République"
11H 51 : le débat peut débuter. 103 parlementaires se sont inscrits sur la liste des intervenants. Moustapha Cissé Lo va ouvrir...
11H 00: le président de l'Assemblée nationale ouvre la liste des intervenants pour les débats. Les députés s'inscrivent.
10H 55: Après l'intervention du président de la Commission des lois, le ministre de la Justice, Me Malick Sall a pris la parole pour défendre la "légitimité" de sa présence pendant le vote du projet de loi portant suppression du poste de Premier ministre. La parole a été redonnée à Bara Dolly, qui a encore contester l'absence du Premier ministre. Sa requête a été soumise au vote et automatiquement annulée par la majorité.
Après, la députée Aida Mbodj a voulu prendre la parole. Mais le président Moustapha Niasse s'y est formellement opposé. Le ton s'est élevé d'un cran, les deux parlementaires ont eu des échanges un peu chauds.
10H 50: Guy Marius Sagna du "Mouvement France Dégage", Babacar Diop, président du Front démocratique sénégalais (Fds) et le président du COS M23 ont été arrêtés devant les portes de l'Assemblée nationale par la police. Ils étaient venus manifester contre le vote du projet de loi pour la suppression du poste de Premier ministre.
Il faut noter qu'il n'y a pas eu de forte mobilisation. Les limiers ont pris d'assaut les alentours de l'hémicycle. Un important dispositif sécuritaire est mis en place pour faire respecter la décision du préfet Dakar, Alioune Badara Samb, qui a interdit le rassemblement des organisations de la Société civile, prévue samedi devant l'Assemblée.
10H 48: le président de la Commission des lois Seydou Diouf accuse l'opposition de vouloir bloquer le vote
A l'Assemblée nationale, il n'y a jamais eu de Déclaration de politique générale d'un vote de confiance. Facultativement, on disait qu'après la Déclaration de politique générale, le Premier ministre après délibération du Conseil des ministres peut le demander. Mais, dans notre pratique parlementaire, depuis lors, la Déclaration de politique générale est juste informative. Parce que le président de la République qui a la légitimité de nommer son Premier ministre a aussi la légitimité de nommer les membres de son gouvernement. L'existence d'un Gouvernement n'est pas liée à une déclaration de politique générale. Si vous ne maîtrisez ce que vous dites il faut demander. On ne peut pas démarrer cette séance avec des stratégies de blocage.
10H 43: Le député Cheikh Abdou Bara Doly réclame la présidence du Premier ministre
Le député Cheikh Abdou Bara Doly (Bokk Giss-Giss) réclame la présence du premier ministre Boun Abdlah Dionne. Pour lui la présence du ministre de la Justice dans l'Hémicycle n'est pas légitime. "votre présence pour le vote de la loi n'est pas légitime. C'est le Premier ministre Boun Abdallah Dionne qui devait être ici. Et pour ce faire également il faudra qu'il obtienne la confiance des députés. Ce rapport n'est pas valable, le Premier ministre devait venir ici pour faire sa Déclaration de politique générale. La violations de lois et des articles à l'Assemblée nationale doit cesser. On attend que le président de la République envoie son Premier ministre pour en débattre sur cette question mais pas avec vous (ministre de la Justice). Ce rapport doit être ramener à la commission pour être ramener revue .
Il poursuit : " Mais comme le président de la République Macky Sall vous a tout simplement remis des pots de vins, pour que vous vous empressiez dans la vote de ce projet de loi nous y sommes. Certains d'entre vous même ont reçu chacun une somme d'un million francs CFA. Ce qui a fait un total de 125 millions Fcfa. Nous ne sommes pas là pour le blocage de la loi. C'est le peuple qui nous anime nous (l'opposition). Contrairement à vous qui veulent faire passer cette loi anticonstitutionnelle. Ce qui devait se faire c'est de reporter le vote de ce projet de loi jusqu'à ce que le premier ministre ait la confiance de l'Hémicycle.
10H: 36: Le président de l'Assemblée nationale Moustapha Niasse a reçu les démissions de Madické Niang et de Modou Diagne Fada. Ils sont respectivement remplacés par Abdou Aziz Diop et Aliou Souaré
10H 05: Le séance a démarré avec une forte présence des parlementaires dans l'hémicycle.