Les avocats ne veulent pas entendre parler de la suppression de l’héritage que leur a laissé Abdoulaye Wade. En effet, dans une logique faire disparaitre tout ce qui est inutile dans le train de vie de l’Etat, le président de la République à l’image du Sénat a fait part de sa décision de supprimer le fonds commun des avocats, source de polémique entre l’UMS et la ministre de la justice, Aminata Tall. Une mesure qui a fini par susciter la grogne des magistrats qui se disent prêts à la confrontation.
Par ailleurs, si un magistrat sous couvert de l’anonymat, dénonce dans les colonnes de « L’AS » le « choix exprès de la période d’inondation », le président de l’UMS, Abdou Aziz Sow enfoncent le clou en fulminant une « décision qui démontre que nous avons affaire à un gouvernement qui n’a aucun sens républicain ».
« Ce qu’ils viennent de faire va installer les sénégalais dans une instabilité juridique qui peut conduire à toute dérive. Si le président et le gouvernement nous appellent à la confrontation, nous relèveront le défi. On ne peut pas nous faire peur », a lâché Me Seck.
A rappeler que le Bureau exécutif de l’UMS est convoqué d’urgence ce vendredi.
Par ailleurs, si un magistrat sous couvert de l’anonymat, dénonce dans les colonnes de « L’AS » le « choix exprès de la période d’inondation », le président de l’UMS, Abdou Aziz Sow enfoncent le clou en fulminant une « décision qui démontre que nous avons affaire à un gouvernement qui n’a aucun sens républicain ».
« Ce qu’ils viennent de faire va installer les sénégalais dans une instabilité juridique qui peut conduire à toute dérive. Si le président et le gouvernement nous appellent à la confrontation, nous relèveront le défi. On ne peut pas nous faire peur », a lâché Me Seck.
A rappeler que le Bureau exécutif de l’UMS est convoqué d’urgence ce vendredi.