En effet les opérateurs Tigo et Expresso ont désormais rejoint leur ainé, la Sonatel, pour faire fléchir le gouvernement sur sa mesure. Le séminaire sur la tarification internationale organisé le 14 décembre dernier par le ministre d’Etat chargé de la connectivité, Alassane Dialy Ndiaye, a été saisi par ces opérateurs pour faire part de leur opposition au décret.
Parlant d’impact négatif sur les tarifs, Boubacar Bâ, représentant de Tigo souligne qu’ils « sont assez élevés par rapport à ce qui se fait dans le monde », car s’explique-t-il « plus les tarifs sont élevés, plus les carriers sont encouragés à chercher des routes alternatives pour acheminer leurs trafics tout en préservant leurs marges ». Ce qui a engendré selon lui une baisse du volume de trafic de « 12 à 15% », mais également d’autres difficultés pour cette société.
Quant au dernier né des opérateurs téléphoniques, Expresso, la position est simple. « Expresso se range derrière ses ainés Sonatel et Tigo sur la question de la surtaxe », a-t-il tout bonnement tranché dans les colonnes du journal « L’observateur ».
Parlant d’impact négatif sur les tarifs, Boubacar Bâ, représentant de Tigo souligne qu’ils « sont assez élevés par rapport à ce qui se fait dans le monde », car s’explique-t-il « plus les tarifs sont élevés, plus les carriers sont encouragés à chercher des routes alternatives pour acheminer leurs trafics tout en préservant leurs marges ». Ce qui a engendré selon lui une baisse du volume de trafic de « 12 à 15% », mais également d’autres difficultés pour cette société.
Quant au dernier né des opérateurs téléphoniques, Expresso, la position est simple. « Expresso se range derrière ses ainés Sonatel et Tigo sur la question de la surtaxe », a-t-il tout bonnement tranché dans les colonnes du journal « L’observateur ».