Cette rencontre offre l'opportunité d'effectuer un examen approfondi des problèmes qui affectent la structure de la santé publique dans la région ouest africaine. D'après le directeur de la santé publique de l'Institut Pasteur de Dakar, le docteur Abdourahmane Sow, les laboratoires de surveillance épidémique en Afrique de l'Ouest font face à un manque de personnel qualifié. Ce problème est aggravé par l'absence d'infrastructures conformes aux normes et de mécanismes de collaboration et de synergie pour répondre aux épidémies. Néanmoins, malgré les engagements fournis par les gouvernements des pays de cette sous-région, "les problèmes demeurent toujours et les défis à relever sont toujours là", a fait observer le docteur Sow.
"Ces défis", confie docteur Sow, "portent sur la faiblesse des ressources humaines qualifiées et des infrastructures non-conformes aux normes ainsi que l’absence de mécanismes de collaboration et de synergie pour mieux faire face aux épidémies.“
Cette rencontre dépasse le simple diagnostic de cette zone et représente aussi une opportunité. Les représentants du Projet WARIL, provenant des 16 régions d'Afrique de l'Ouest et de la Mauritanie, ont récemment mis en place un programme visant à renforcer les compétences des laboratoires et la surveillance en Afrique de l'Ouest, en collaboration avec le Fonds mondial.
Et c'est dans cet état d'esprit que le Fonds mondial a octroyé un "financement de cinq millions de dollars pour une durée de trois ans afin d’aider les pays de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) et la Mauritanie à pouvoir aller de l’avant face aux prochaines pandémies“, a déclaré son directeur général, Plaikessi Kaoudjani.
"Ces défis", confie docteur Sow, "portent sur la faiblesse des ressources humaines qualifiées et des infrastructures non-conformes aux normes ainsi que l’absence de mécanismes de collaboration et de synergie pour mieux faire face aux épidémies.“
Cette rencontre dépasse le simple diagnostic de cette zone et représente aussi une opportunité. Les représentants du Projet WARIL, provenant des 16 régions d'Afrique de l'Ouest et de la Mauritanie, ont récemment mis en place un programme visant à renforcer les compétences des laboratoires et la surveillance en Afrique de l'Ouest, en collaboration avec le Fonds mondial.
Et c'est dans cet état d'esprit que le Fonds mondial a octroyé un "financement de cinq millions de dollars pour une durée de trois ans afin d’aider les pays de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) et la Mauritanie à pouvoir aller de l’avant face aux prochaines pandémies“, a déclaré son directeur général, Plaikessi Kaoudjani.