Le sort de Harouna Sy est désormais entre les mains des autorités étatiques qui doivent s’expliquer sur les accusations qui pèsent sur le conseiller spécial du ministre de l’Intérieur chargé des questions de sécurité. En effet, suite à cette suspension de son admission au Darfour où il devait se charger de la restructuration des services de police, Harouna Sy risque de ne pas siéger à l’organisation internationale.
La polémique qui a fait suite à l’admission de M.SY au concours de l’ONU serait à l’origine de la procédure qui a suspendu la mission de l’ancien commissaire central de Dakar. Par ailleurs, le journal « L’observateur » indique que les combats menés par la Rencontre Africaine pour la Défense des Droits de l’Homme (RADDHO), la Ligue Sénégalaise des Droits de l’Homme (LSDH) et la section sénégalaise d’Amnesty International ont fini par aboutir à cette mesure conservatoire des Nations Unies.
La polémique qui a fait suite à l’admission de M.SY au concours de l’ONU serait à l’origine de la procédure qui a suspendu la mission de l’ancien commissaire central de Dakar. Par ailleurs, le journal « L’observateur » indique que les combats menés par la Rencontre Africaine pour la Défense des Droits de l’Homme (RADDHO), la Ligue Sénégalaise des Droits de l’Homme (LSDH) et la section sénégalaise d’Amnesty International ont fini par aboutir à cette mesure conservatoire des Nations Unies.