Elimane Diouf a été réélu, dimanche 29 septembre, au poste de secrétaire général de la Confédération des syndicats autonomes du Sénégal (CSA), selon l’Agence de Presse Sénégalaise (APS).
Élu pour la première fois en 2016, M. Diouf a été reconduit à l’issue du quatrième Congrès national de la CSA, qui a eu lieu ce week-end à Dakar, indique un communiqué de presse reçu à l’APS.
Ce congrès avait pour thème : « La CSA face aux enjeux et défis de la revitalisation du mouvement syndical ».
Les syndicats membres de ladite confédération se sont engagés à « insuffler une nouvelle dynamique pour remédier à l’essoufflement du mouvement syndical ».
« C’est clair qu’il faut une nouvelle dynamique », estime la confédération, qui a pris acte des engagements des nouvelles autorités.
À en croire l’APS, la CSA s’est réjouie de l’exploitation de gisements de pétrole et de gaz naturel, selon elle, « des ressources substantielles pour le développement endogène du pays ».
Elle a toutefois attiré l’attention sur les menaces qui pèsent sur le travail avec la suspension de plusieurs emplois ainsi que la renégociation des contrats qui font planer « des risques graves sur l’emploi ».
La Confédération des syndicats autonomes du Sénégal signale que les organisations qui la composent sont passées de 44 à 64, entre 2016 et 2024.
Élu pour la première fois en 2016, M. Diouf a été reconduit à l’issue du quatrième Congrès national de la CSA, qui a eu lieu ce week-end à Dakar, indique un communiqué de presse reçu à l’APS.
Ce congrès avait pour thème : « La CSA face aux enjeux et défis de la revitalisation du mouvement syndical ».
Les syndicats membres de ladite confédération se sont engagés à « insuffler une nouvelle dynamique pour remédier à l’essoufflement du mouvement syndical ».
« C’est clair qu’il faut une nouvelle dynamique », estime la confédération, qui a pris acte des engagements des nouvelles autorités.
À en croire l’APS, la CSA s’est réjouie de l’exploitation de gisements de pétrole et de gaz naturel, selon elle, « des ressources substantielles pour le développement endogène du pays ».
Elle a toutefois attiré l’attention sur les menaces qui pèsent sur le travail avec la suspension de plusieurs emplois ainsi que la renégociation des contrats qui font planer « des risques graves sur l’emploi ».
La Confédération des syndicats autonomes du Sénégal signale que les organisations qui la composent sont passées de 44 à 64, entre 2016 et 2024.